Qui n'aime pas Amal Ayouch? Cette Casablancaise, diplômée par ailleurs en 1998 du Conservatoire municipal la métropole économique, a décidément l'art dans le sang.
"Mais, insiste-t-elle, pas n'importe lequel!"
On s'étonne de cette déclaration. Elle tient, cependant, à préciser qu'il s'agit de là de "choix des uns et des autres". Et, ajoute-t-elle, avec quelque bonhomie: "chacun a le droit de choisir le chemin qui lui lui plait".
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Quant à sa "disparition" des sunlights, elle s'en explique: "j'ai marqué un arrêt sur les écrans de télévision. Mais je n'ai pas réellement disparu, puisque que je viens de tourner un nouveau film, une co-production maroco-espagnole. J'ai aussi joué beaucoup de rôles au théâtre. Pour être franche, mes choix se font selon les rôles qu'on me propose".
Amal Ayouch, qui a joué dans des long-métrages à succès comme Destin de femmes (Hakim Noury, 1998), Ali Zaoua (Nabil Ayouch, 2000) ou encore Les Anges de Satan (Ahmed Boulane, 2007), ajoute : "je ne peux pas travailler dans des sitcoms. Il existe des personnes qui sont à même de camper les rôles de ce genre de productions".
Interrogée sur le fait d'envisager de tourner des scènes osées, l'artiste répond sans hésiter n'avoir "aucun problème à tourner (ces) scènes, mais dans des limites, lesquelles sont connues de tous. On vit au Maroc et on doit rester connecté à notre réalité".
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