Cette réforme de la Bourse de Casablanca qui a fait l'objet d'un projet de loi, est axée sur cinq points dont la création de ce second marché alternatif aux côtés du marché principal.
Le deuxième marché parallèle est dédié aux PME avec des conditions d'accès au marché adaptées aux spécificités de cette catégorie d'entreprises. Selon ce projet de loi, il est prévu également de créer dans le cadre de ce second marché "des départements réservés à la négociation des fonds collectifs notamment les Exchange Traded Fonds (ETF) et les fonds immobiliers".
Ce projet de texte permet aussi "la cotation des entreprises étrangères". Ainsi "les organisme ou personnes morales n'ayant pas leur siège au Maroc peuvent être cotés à l'un des compartissement des marchés". Désormais, selon ce projet de réformes, il sera aussi accordé "une meilleure souplesse dans le fonctionnement technique de ce marché. Ce projet de loi prévoit enfin qu'outre leurs activités boursières classiques, "ces sociétés peuvent exercer des activités connexes aux activités d'intermédiation".
Ce projet de loi va être soumis prochainement au Parlement pour son adoption définitive.