L’offshoring, un secteur créateur d’emplois avec ses 69.900 nouveaux postes directs

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Revue de presseKiosque360. L’offshoring est un secteur pourvoyeur d’emplois. Entre 2014 et 2018, 69.900 postes directs ont été créés. Tel est le bilan intermédiaire des écosystèmes de ce secteur, dévoilé lors d’une rencontre consacrée à l’état des lieux et aux perspectives du milieu. Le point.

Le 15/05/2019 à 18h41

C’est indéniable. L’offshoring crée de l’emploi, comme le confirme le bilan intermédiaire des écosystèmes de ce secteur. La preuve en chiffre: 69.900 postes directs créés entre 2014 et 2018. Derrière cette belle dynamique, une explication: la signature des contrats de performances en 2016, qui a permis la création de plus de 51.000 emplois depuis cette date, comme le rapporte Aujourd’hui le Maroc dans son édition de ce 16 mai.

Lors de la rencontre co-organisée par la Fédération des technologies de l’information, des télécommunications et de l’offshoring (Apebi) et l’Association Marocaine de la relation client (AMRC), en partenariat avec l’Agence de développement du digital (ADD), un autre chiffre a été mis en avant: celui sur le cumul investi dans le secteur, qui s’élève à 1 milliard de

dirhams. Un flux qui avoisine l’objectif fixé à l’horizon 2020, à savoir un investissement global de 1,5 milliard de dirhams, comme le fait savoir le journal.

Côté chiffre d’affaires à l’export, il est de 10 milliards de dirhams en 2018, d’après Otmane Serraj, président de l’Association marocaine de la relation client (AMRC). L’ambition est d’atteindre un additionnel de 18 milliards de dirhams à l’horizon 2020, comme le révèle le quotidien. Résultat: l’AMRC et l’Apebi, avec le soutien de l’Agence du développement du digital (ADD), se sont notamment engagés à mettre en place une structure d’animation qui pilotera le plan d’action et les mesures assorties pour atteindre ces objectifs. Dans le plan stratégique de la structure d’animation des écosystèmes offshoring (période 2019-2020), sept piliers comprenant 37 axes ont été identifiés. Parmi eux, l’accompagnement des investisseurs, la certification des écosystèmes, l’image de marque, la formation, ou encore la veille et les études.

Par Fayçal Ismaili
Le 15/05/2019 à 18h41