Cette enveloppe est répartie sur les établissements et entreprises publics –EEP (138 MMDH), le budget général, les comptes spéciaux du Trésor– CST et les services d’État gérés de manière autonome –SEGMA (120,5 MMDH), le fonds Mohammed VI pour l’investissement (45 MMDH), les collectivités territoriales (21,5 MMDH) et le fonds spécial pour la gestion des effets du tremblement du terre ayant touché le Maroc (15 MMDH), précise cette note publiée sur le site du ministère de l’Économie et des Finances.
D’après la même source, les programmes d’investissement des EEP couvrent principalement les secteurs de l’énergie, des télécommunications, de l’habitat, de l’agriculture, de l’électricité, de l’eau potable, des phosphates et leurs dérivés, des autoroutes et des transports aériens, maritimes et ferroviaires.
Pour ce qui est des CST, leurs programmes d’investissement portent essentiellement sur le renforcement du réseau routier national, le soutien d’actions relevant des secteurs de l’agriculture, des eaux et forêts, de l’audiovisuel, de l’habitat, de la justice, de la culture et des sports, ainsi que sur le financement de programmes socio-éducatifs.
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Par ailleurs, la note de présentation fait savoir que les budgets d’investissement des collectivités territoriales sont consacrés à la mise en place des infrastructures destinées à améliorer les conditions de vie des populations.
Les efforts seront concentrés sur l’extension et le renforcement des réseaux de voirie et d’assainissement, les constructions d’infrastructures culturelles, sportives et de loisirs, de marchés et d’édifices publics, ainsi que les aménagements de jardins et d’espaces verts.