Relance de la destination Marrakech: la ministre du Tourisme à la rencontre des opérateurs, ces 13 et 14 janvier

Fatim-Zahra Ammor, ministre du Tourisme, de l'Artisanat et de l'Economie sociale et solidaire.

Fatim-Zahra Ammor, ministre du Tourisme, de l'Artisanat et de l'Economie sociale et solidaire. . MAP

Fatim-Zahra Ammor est attendue ce jeudi 13 janvier 2022 à Marrakech. Jusqu'à demain, vendredi, la ministre du Tourisme, de l’artisanat et de l’économie sociale et solidaire s'attellera à y rencontrer des opérateurs touristiques, pour discuter des perspectives d'une relance pour l'ensemble des métiers liés à la chaîne de valeur du tourisme.

Le 13/01/2022 à 16h12

Cette visite à Marrakech de la ministre et de membres de son équipe rapprochée, d'une durée de deux jours, vise avant tout à activer le lancement de certains projets structurants, mais permettra aussi de s’entretenir avec les autorités locales et des professionnels du tourisme sur les perspectives d'une relance post-Covid de la destination, explique le ministère dans un communiqué.

Accompagnée du directeur général de la Société marocaine d’ingénierie touristique (SMIT), Imad Barrakad, le directeur de l'Office du développement de la coopérative, Youssef Hosni, et de la directrice de la Stratégie, de la programmation et de la coopération du département de l’Artisanat, Asmae Kadiri, Fatim-Zahra Ammor doit visiter plusieurs projets d’investissement, dont le site du futur Palais des congrès et Centre d’Exposition, le nouvel ensemble d’artisanal, mais aussi un nouveau centre de formation aux métiers de l’artisanat de même que la très prisée zone de Sidi Ghanem, véritable vitrine de l’artisanat à Marrakech.

La visite de la ministre du Tourisme, accompagnée de sa garde rapprochée, lui permettra aussi d'aller à la rencontre de professionnels du tourisme, mais aussi de resposnables locaux, ceux qui dirigent les centres provinciaux du tourisme à Marrakech-Safi, de même que les présidents d'associations régionales, sans oublier les administrateurs du Centre régional du tourisme (CRT). But affiché de ces nombreuses discussions: les moyens à même d'envisager l’avenir du tourisme dans la région, dans le contexte d'une sortie de crise. 

Fatim-Zahra Ammor doit aussi, au cours de cette visite à l'agenda décidément très chargé, se rendre dans le village d’Aït Ourir, à près de 50 km de Marrakech. La ministre, qui est aussi en charge du portefeuille de l'Economie sociale et solidaire (ESS), y évaluera les efforts qui ont été entrepris par les gestionnaires d'une coopérative.

Fenn Nassij, qui œuvre dans ce douar, a bénéficié du programme «Morafaqa», et emploie aujourd'hui dans ce village pas moins de 180 personnes, dont 80% de femmes, précise à cet égard un communiqué du ministère du Tourisme, de l'artisanat et de l'ESS. 

Par Safae Hadri
Le 13/01/2022 à 16h12

Bienvenue dans l’espace commentaire

Nous souhaitons un espace de débat, d’échange et de dialogue. Afin d'améliorer la qualité des échanges sous nos articles, ainsi que votre expérience de contribution, nous vous invitons à consulter nos règles d’utilisation.

Lire notre charte

VOS RÉACTIONS

Arrêtons avec la théorie et passons aux choses pratiques! Débourser des budgets colossaux qui ne servent qu'à une minorité alors qu'il suffirait d'ouvrir les frontières pour espérer sauver ce qui reste à sauver !! que faites vous des petites villes qui respirent quand elles voient arriver les MRE, des bazars, des petits commerçants, restaurateurs modestes.......et j'en passe

Il faut être courageux devant des situations pandémiques sévissait de plus de 2 ans .Grâce aux efforts de Samajeste Mohamed VI que Dieu l'assister dans toutes ses actions benefiques et reconnues dans le monde entier. Les Marocains espèrent tous reprendre une vie normale dans les meilleurs délais possibles .

Relancer le tourisme c'est avant tout être clair vis à vis du touriste, du transporteur, de s professionnels. Personne ne peut faire confiance à des gens qui, du jour au lendemain, prennent des décisions hâtives et illogiques en fermant les frontières alors que tous les pays du monde les laissent ouvertes. Est-ce que nos responsables ont étudié plus que les autres,on a peur du virus. Le virus le plus dur c'est celui de la pauvreté,de la précarité dans laquelle se sont trouvés les milliers d'employers du secteurs qui vivotent dans l'espoir de se réveiller un jour et trouver une situation meilleure. La majorité de ces gens a besoin de psy pour se reconstituer.Mais hélas, seul Dieu sait combien est énorme leur souffrance.

0/800