«Nous sommes devenus ce qu’on pourrait appeler les "pauvres riches"». Cette assertion est de Majid Lahrichi, le président de la Fédération nationale des bijoutiers, et elle résume à elle seule le marasme que traverse toute la profession.
A cause du coronavirus, les bijoutiers ont été contraints de baisser le rideau, faute de clients et surtout de clientes.
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«Chaque bijoutier, en moyenne, fait travailler deux à trois apprentis, mais tout ce beau monde se trouve actuellement au chômage», affirme notre interlocuteur.
En plus, tient-il à expliquer, il s’agit d’une profession qui dépend de la fluctuation des cours de l’or sur le marché mondial.
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