"Le Maghreb est en train de vivre des mutations structurelles porteuses d’espoir. Ce que j’observe en Algérie est porteur d’espoir. Contrairement à ce que beaucoup pensent, l’Algérie ne reviendra pas en arrière. Donc, le pouvoir militaire devra accepter de partager le pouvoir."
"La solution à la problématique algérienne aujourd’hui, c’est d’amener le pouvoir à accepter la solution du partage du pouvoir. Mais il [le pouvoir, Ndlr] doit composer avec ceux avec lesquels il a mené une guerre interne pendant dix ans."
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"Parce que [ce sont là] l’une des rares forces organisées qui restent encore en Algérie. Toutes les formations politiques historiques sont rejetées structurellement et radicalement par la population qui est dans la rue."