C’est le sacre pour l’ESTEM Prépas cette année en matière d’admissibilité aux grandes écoles françaises. Le niveau de réussite est impressionnant.
Les résultats les plus remarquables sont ceux de la prestigieuse École « HEC PARIS » dont le nombre d’admissibles est 4 élèves, de l’École «Grenoble» dont le taux d’admissibilité a atteint 49% avec 14 élèves admissibles, ainsi que des Ecoles d’Ingénieurs de grande renommée Centrale-Supelec et Mines Telecoms, avec trois élèves admissibles.
«Nous avons été classés l’an dernier 2ème mondial pour la filière ECT, pour l’intégration de nos élèves à HEC. Ces résultats remarquables ne sont pas le fruit du hasard mais la conséquence légitime et naturelle de longues années de travail acharné et d’efforts continus et titanesques de la part de l’équipe pédagogique et de l’équipe administrative, présidées par moi-même», déclare Wafaa Bouab Bennani, présidente directrice générale de l’ESTEM.
En effet, tous les membres de l’équipe pédagogique et administrative travaillent en synergie pour mettre à la disposition des élèves un cadre optimal et un environnement idéal réunissant les meilleures conditions possibles pour se préparer aux concours d’accès aux Grandes Ecoles de Commerce et d’Ingénieurs.
Résultat, l’ESTEM Prépas s’est faite une place parmi l’élite et parmi les meilleures Prépas au niveau national et international. «Pour être champion, car c’est comme cela que nous raisonnons à l’ESTEM, nous sommes une écurie. Pour cela, nous développons chez nos préparationnaires un mental efficace. Nous Développons également chez eux la persévérance et c’est ce qui va permettre de garder le cap dans des moments difficiles et poursuivre ses objectifs», explique Wafaa Bouab Bennani
L’accent en cela est mis sur la confiance. «Plus on avance dans le défi, plus on développe chez nos préparationnaires une confiance en soi inébranlable qui est en permanence en train d’augmenter. Développer la confiance c’est oser faire des choses nouvelles et difficiles et accepter l’idée de l’échec et la capacité de se remettre en question. L’élève apprend de ses erreurs dans le calme. Une erreur amène énormément de correction si on apprend à l’accepter et à la dépasser», ajoute la responsable.
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Au préalable, une sélection des candidats aux classes prépas est effectuée. «Avant tout ,une prépa est faite pour des jeunes motivés qui ont envie d’aller le plus loin possible. Et pour ça il n’y pas de moyenne. Le profil idéal est un profil courageux, équilibré, bon en maths», indique Bouab Bennani.
Derrière, il y a toute une philosophie. «On dit souvent la prépa est réservée à une élite, c’est-à-dire pour les meilleurs. Or ce n’est pas complétement vrai car en 1ere et terminale, le projet pédagogique n’est pas arrêté par certains lycéens.
La personnalité de l’élève commence à être décelée après la terminale et beaucoup de bons potentiels qui auraient pu choisir la prépa ont fait d’autres choix d’impasse», souligne-t-elle.
Pour elle, l’équipe pédagogique est la clé de la réussite, aussi bien les profs que l’administration, dont la réussite de l’élève est au centre de tous les intérêts. «C’est un match à trois. On le gagne ensemble ou on le perd ensemble», résume la responsable.
Prépa, mode d’emploi?Une prépa permet d’intégrer une école reconnue et très hautement réputée qui garantit l’accès à des postes de directions ou de gestion d’entreprises et de création par les diplômés de leur propre entreprise, au bout de cursus.
La prépa apprend à être efficace. «L’efficacité est essentielle pour réussir non pas ses deux années de prépa mais aussi sa carrière. Travailler pendant 6 heures de suite les maths n’est pas forcément la bonne solution. Ni faire 30 minutes de langues par semaine…A l’ESTEM Prépas, on apprend aux élèves comment travailler et comment découper la journée en 3 phases entre leurs temps de travail des matières principales, langues et repos, qui est essentielle, et même quelques loisirs. En prépa, on apprend énormément de choses mais à l’ESTEM Prépa, on apprend à travailler ensemble, de manière solidaire et dans une ambiance familiale», explique encore Wafaa Bouab Bennani.
L’élève n’est pas livré à lui-même et chacun, selon son projet pédagogique et ses ambitions, est suivi minutieusement. «Nous sommes loin des prépas usine ou certains étudiants sont cassés et finissent par un burnout. Nous attachons énormément d’importance au coaching et au mental de chacun. Nous leur apprenons comment devenir ultra-performant (comment faire le boulot en une heure au lieu de 3), comment devenir bon et donner le meilleur d’eux-mêmes», précise la CEO.
La clef de la réussite: l’écoute, l’accompagnement et l’expertise des enseignants et intervenants dans les exigences des différents concours et à différents niveaux.
