Depuis près de quatorze ans, Marisa Berenson a fait de Marrakech sa ville de résidence principale. C’est dans une maison au coeur de la palmeraie qu’elle coule des jours heureux, après avoir découvert la cité ocre dans les années 1960, lors d’un shooting de mode.
De l’amour qu’elle porte à cette ville est né un beau livre, intitulé «Marrakech Flair» (éd. Assouline), publié en pleine crise sanitaire en 2020. Et aujourd’hui, c’est dans les colonnes de l’édition française du magazine Vogue que le top model des années 1960 partage ses bonnes adresses marrakchies.
C’est ainsi que la ville se dévoile dans les pas de Marisa Berenson. Côté shopping, cette dernière encourage à découvrir les petites échoppes de la médina et recommande en particulier la boutique El Fenn, pour ses caftans, et Topolina, la boutique de Béatrice Paul installée dans la Mamounia.
En matière de mode comme de déco, Marison Berenson ne jure que par les magasins de la médina. «Quand je me balade dans la médina, je trouve toujours de nouvelles pièces chez des antiquaires, dans les marchés aux puces… Cela fait partie du charme de Marrakech», explique-t-elle, recommandant toutefois de visiter les boutiques de Mustapha Blaoui et Henry Cath.
Pour une parenthèse exquise de détente, Marisa Berenson invite les lecteurs à découvrir le spa du Royal Mansour Marrakech, puis de visiter le jardin Majorelle, le plus beau de la ville à ses yeux. Le soir venu, il n’y aura que l’embarras du choix pour aller dîner. Pour l’ex-top model, quatre tables s’imposent: la Trattoria, Dar Yacout, qu’elle qualifie d’institution, le Jardin (au Royal Mansour Marrakech) et la Maison arabe.
Et quand on lui demande ce qui n’existe qu’à Marrakech, Marisa Berenson ne tarit pas d’éloges. «C’est difficile de mettre des mots dessus. Il s’agit plutôt d’une ambiance, d’une lumière, d’une nature… D’une certaine douceur de vivre en fait. L’ambiance de jadis est devenue plus moderne. C’est une combinaison de choses qui est aussi alimentée par une variété de gens de nationalités différentes. C’est aussi une ville très créative. Certains l’ignorent, mais Marrakech fourmille de créateurs et d’artistes, jeunes et moins jeunes. Ce mouvement artistique qui a débuté dans les années 60 est aujourd’hui plus fort que jamais. C’est un vrai centre artistique et culturel du monde africain», explique-t-elle, en parfaite ambassadrice de la ville ocre.
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