L'Espagne doit agir pour que la confiance soit rétablie dans les relations avec le Maroc, selon le directeur de La Razon

Francisco Marhuenda, directeur du quotidien espagnol à grand tirage, La Razon.

Francisco Marhuenda, directeur du quotidien espagnol à grand tirage, La Razon. . DR

L’Espagne doit «agir comme pays ami» pour que la confiance soit rétablie dans ses relations avec le Maroc, «une grande nation et un pays ami et voisin», souligne le directeur du quotidien espagnol La Razon, Francisco Marhuenda.

Le 01/06/2021 à 20h13

«Actuellement, nous avons une réalité devant nous, c'est que le Maroc a perdu confiance en l’Espagne. Le gouvernement espagnol doit donc œuvrer pour que cette confiance soit rétablie», a affirmé Marhuenda dans une vidéo postée sur le site web du quotidien espagnol, La Razon.

«Maintenant que cette confiance est brisée, le moment est venu pour que le gouvernement espagnol arrête ces absurdités et œuvre à résoudre la crise avec le Maroc sur la base des principes de la cohérence, de la proximité et de l’entente», a-t-il recommandé.

Le Maroc est une «grande nation qui se développe de plus en plus et ses relations avec l’Espagne ont toujours été empreintes de coopération et de confiance», a rappelé le directeur de La Razon.

«L’Espagne et le Maroc, deux pays voisins et amis qui partagent des liens cordiaux, sont condamnés à s’entendre pour dépasser cette crise», a-t-il insisté.

Le 01/06/2021 à 20h13

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celà s'appel se moquer des gens , comment rétablir une confiance qui n'a jamais existée alors que l'Espagne s'entête à ne pas restituer au maroc les villes qu'elle occupe .

Du moment que les espagnols avertis stigmatisent la mauvaise gestion par le gouvernement espagnol actuel de la crise qu'il a créé avec son voisin et partenaire stratégique, il appert qye ce gouvernement n'est pas assez compétent pour gérer cette situation qui s'envenime davantage au fur et à mesure de son entêtement à reconnaire son énorme tord envers son voisin qu'ellz poignardé dans le dos en soutenant un criminel de guerre et en lui offrant toutes les faveurs lui permettant d'échapper aux poursuites judiciaires au grand dam de ces prorpres citoyens ayant pâti de la cruauté du tortionnaire polisarien.

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