Éducation nationale: grand oral de Aziz Akhannouch devant le Parlement lundi

Non le royaume du Maroc a devant lui des défis trop importants pour laisser les partis politiques mettre le désordre et surtout pas dans le statégique domaine de l'éducation qui a été pris en otage par ces mêmes politiciens. En interne le Maroc doit faire face à la sécheresse et au chômage alors qu'en externe la montée de l'extrême droite en Europe menace les futurs marocains candidats à l'émigration et les MRE. Sans compter d'autres problèmes géopolitiques bien connus. Il faut donc réformer les prérogatives des partis politiques et rajouter l'éducation, la santé et d'autres comme poste de souveraineté sous la conduite de notre roi Mohammed 6 (qu'Allah l'assiste). Même la culture est dangereuse à laisser à ces partis politiques qui n'ont rien fait contre les tentatives de vol d'un voisin.