Le Maroc, la Tunisie et l'Egypte s'unissent pour la recherche scientifique

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La première réunion qui s’est tenue entre le Maroc, la Tunisie et l’Egypte, lundi 13 juillet à Rabat, s’est conclue par la signature d’une déclaration visant à renforcer le travail commun dans le domaine de la recherche scientifique.

Le 13/07/2015 à 20h45

Le Maroc, la Tunisie et l'Egypte ont uni leurs drapeaux, lundi 13 juillet à Rabat, pour la signature d’une déclaration ayant pour ambition de favoriser l’ascension de la recherche scientifique dans ces trois pays. Cet accord a été signépar Lahcen Daoudi, ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de la formation des cadres, Chihab Boden, ministre tunisien de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, ainsi que Cherif Hamad, ministre égyptien de la Recherche scientifique et de la technologie.

Les trois parties ont convenu de soutenir et de développer la coopération avec d’autres pays en matière de recherche scientifique, de multiplier les appels d’offres pour financer les projets de recherche dans les domaines d’intérêt commun, organiser des manifestations et des ateliers scientifiques communs, mais aussi favoriser le réseautage entre les équipes de recherche. L’énergie, l’eau, la santé, l’agriculture et l’alimentation sont également dans les priorités de cette coopération qui ambitionne, en outre, de placer les technologies de l’information et les sciences humaines au centre de ses intérêts.

Par ailleurs,Lahcen Daoudi a insisté, lors de cette réunion, sur l’importance de créer des espaces universitaires de recherche, tandis que le ministre égyptien de la Recherche scientifique et de la technologie a indiqué que cette rencontre aboutira sur des projets de recherche communs entre les trois parties. Pour sa part, le ministre tunisien de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique a estimé que l'environnement économique et social des Etats signataires de cette déclaration devra être developpé.

Par Rania Laabid
Le 13/07/2015 à 20h45

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Les pays arabes ont tardivement compris que leur développement économique doit passer par le développement scientifiques. C'est la condition siné-quanon de n'importe quelle évolution,et L'Asie est là pour en démontrer la règle. Ces pays se réveillent sur un constat amer et découvrent que le budget de la recherche scientifique israélien depasse 20 fois celui des pays arabes tous réunis !!!! A qui la faute ?????

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