La décision Royale relative à la nomination des présidentes du Conseil supérieur de l’éducation, de la formation et de la recherche scientifique et du Conseil national des droits de l’Homme témoigne de la volonté royale de doter ces deux institutions des compétences et des expertises à même de garantir la poursuite de la promotion de leurs missions constitutionnelles, eu égard à la centralité des attributions qui leur sont conférées par la Constitution et aux enjeux y afférents sur les plans national et international.
Ces nominations s’inscrivent en droite ligne de l’attention particulière que Sa Majesté le Roi n’a eu de cesse d’accorder à la poursuite de la réforme du système national de l’éducation et de la formation, en tant que l’une des priorités nationales visant la qualification du capital humain, qui constitue la véritable richesse devant accompagner le modèle de développement mené, avec sagesse et clairvoyance par le Roi, ainsi que de l’intérêt accordé par le Souverain à la promotion des droits de l’Homme et leur protection en termes de culture et de pratique, et à la consolidation des acquis réalisés par notre pays dans ce domaine et qui sont reconnus à l’échelle mondiale.
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