Selon ces sources, la décision de tenir cette séance plénière et commune aux deux chambres du Parlement a été validée lors de la réunion du bureau de la Chambre des représentants, lundi 8 avril. Elle confirme la promesse faite, la semaine dernière, par l’instance de la majorité (RNI, PAM, Istiqlal) au terme d’une réunion au sommet.
Selon l’Article 101 de la Constitution, le chef de l’exécutif peut se présenter devant le Parlement pour présenter un bilan d’étape à son initiative, à la demande du tiers des membres de la Chambre des représentants ou à l’initiative de la majorité des membres de la Chambre des conseillers.
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Selon les sources contactées par Le360, dans son bilan de mi-mandat, Aziz Akhannouch devrait axer son exposé sur les réformes entreprises par son équipe, sur la concrétisation de l’État social et, en général, sur les promesses faites lors de la présentation de sa déclaration de politique générale, avant l’investiture son gouvernement.
Le vendredi 12 avril, l’Hémicycle va inaugurer sa session printanière, une reprise qui sera marquée par l’élection du président de la Chambre des représentants. Rachid Talbi Alami (RNI) part favori comme unique candidate de la majorité. En face, l’opposition ne compte qu’un seul candidat, en l’occurrence Abdellah Bouanou du PJD. Le président sortant du groupement parlementaire des islamistes et ancien maire de Meknès se porte candidat malgré ses chances, quasi inexistantes, de remporter le perchoir.
