Sebta et Melilla: quand Cembrero appelle à "prendre les armes" contre le Maroc

Ignacio Cembrero.

Ignacio Cembrero. . DR

Revue de presseKiosque360. Le journaliste espagnol Ignacio Cembrero a fait tomber le masque du spécialiste du Maghreb en appelant les habitants des présides occupés de Sebta et Mellila à prendre les armes pour lutter contre le Maroc.

Le 04/02/2021 à 20h48

Profitant de la pression exercée par l’extrême gauche sur le gouvernement socialiste espagnol dans le but d’exaspérer les tensions contre le Maroc, le journaliste Ignacio Cembrero a encore commis un article des plus tendancieux.

Le quotidien Al Ahdath Al Maghribia rapporte, dans son édition du vendredi 5 février, que l’homme qui souffre d’une addiction pour tout ce qui nuit au royaume, a cette fois-ci fourré vilement son nez dans les villes occupées de Sebta et Mellila. Une prise de position on ne peut plus belliqueuse qui sonne comme une gifle pour tous ceux qui ne juraient que par ses «analyses» sur les affaires internes du Maroc.

En effet, le «cheikh» Cembrero a publié, mercredi dernier, un article dans le journal El Confidencial, avec comme titre «Aux armes», dans lequel il appelle les habitants à défendre les deux villes avec les armes. Certes, ce «spécialiste» de la région du Maghreb a essayé de se rattraper en parlant d’arme juridique, comme celle de recourir à l’UE pour mettre fin à la pression marocaine. Mais le mal est fait. En effet, il est facile de jouer avec les mots guerriers et de chercher à rectifier le tir quand la suite de l’article est teintée de mauvaise foi.

Selone Al Ahdath Al Maghribia, Cembrero croit que l’UE n’aurait pas peur de provoquer une crise avec le Maroc, comme le craint aujourd’hui l’Espagne, quand il s’agit de défendre les intérêts des deux «villes indépendantes». En fait, c’est Cembrero qui a peur quand il évoque les décisions prises par le royaume pour, dit-il, asphyxier économiquement les deux villes afin qu’elles soient un fardeau pour le gouvernement espagnol. Il cite notamment la fermeture du bureau des douanes commerciales à Mellila, l’interdiction d’effectuer des exportations à partir de cette ville, la fin de la circulation et l’arrêt de l’introduction des poissons marocains à Sebta.

Et le journaliste, forcement dépité, de souligner que «le gouvernement espagnol ne s’est jamais plaint de ces violations commises par le Maroc ainsi que d’autres infractions qui se sont produites lors des dernières années. Autant dire que le Maroc ne baisse pas les bras et que Madrid laisse les deux villes mourir économiquement». En définitive, le doyen des journalistes espagnols donne une leçon douloureuse à ceux qui se délectaient de ses articles sur les affaires internes du Maroc. Il leur apprend que les intérêts de son pays priment sur toute autre considération et qu’en plus, ses attaques dépassent le plafond de l’action gouvernementale espagnole.

Du coup, il est devenu un acteur actif dans une campagne hostile au Maroc dans laquelle il utilise toutes les armes. Son objectif avoué est d’ouvrir un dossier au sein de l’UE sur la situation de Sebta et Mellila après la fermeture des frontières et l'arrêt des activités de la contrebande par le Maroc. En parallèle, Cembrero cherche à attirer ceux qui trouvent un intérêt dans ce dossier pour les rallier aux résidus du lobby du Sahara avec pour objectif de faire chanter le Maroc. En vérité, le journaliste défend uniquement la contrebande qui génère des sommes considérables pour les habitants des deux présides occupés.

Le «cheikh» laisse libre cours à sa passion morbide pour contrecarrer ce qui est bon pour les Marocains sur un lieu qui ne le lui appartient pas. Il va jusqu’à appeler, sans vergogne, à prendre les armes contre un pays qui a simplement décidé de lutter contre toutes sortes de trafics et de contrebande qui sapent son économie.

Par Hassan Benadad
Le 04/02/2021 à 20h48

Bienvenue dans l’espace commentaire

Nous souhaitons un espace de débat, d’échange et de dialogue. Afin d'améliorer la qualité des échanges sous nos articles, ainsi que votre expérience de contribution, nous vous invitons à consulter nos règles d’utilisation.

Lire notre charte

VOS RÉACTIONS

C'est un moins que rien, oubliez même son existence

Vive Sbeta et Mellilia!! Deux villes Marocaines occupées par les espagnols.

Cette caricature de journaleux est de nouveau de sortie pour ne pas se faire oublier par ses commanditaires dz en essayant de nuire avec une mèche mouillée à notre cher pays. Mais comme toujours, il n'en que plus ridicule à chacune de ses tentatives.

Un autre chien qui aboie pour avoir une peu de pétrodollars du pauvre peuple algérien sauf que les caisses sont vides. Cembrero peut continuer à aboyer car la caravane continue son chemin.

SEBTA ET MELILLA: QUAND CEMBRERO APPELLE À "PRENDRE LES ARMES" CONTRE LE MAROC : apparemment ce has been mercenaire journaleux sbgnoli khanez revient aux affaires contre le Royaume Chérifien ?! Il s'est bien gavé des pétro-dollars de la hachakoum de l'Est juste pour nuire aux intérêts suprêmes de notre pays et je rappelle à mes compatriotes Marocains ce (merdeux) journaleux Ignacio Cembrero A ÉTÉ aussi FINANCÉ ET COPAIN DU PRINCE machin truc hicham pour contrer Sa Majesté le Roi et son pays qui l'a vu naître...tfooo yalatif!Nous avons aussi nos propres traîtres pour contrer l'intégrité territoriale et nuire à Sa Majesté le Roi!T'inquiètes petit journaleux mercenaire, le Royaume Chérifien a la main sur le gros robinet des subsahariens et un jour ces présides occupées ressembleront à Lagos.

ignorés l'ignorance malsaines et ne lui donnez pas l'importance plus qu'il mérite a ce vieillard un vauriens restera ainsi

De nos jours, sortir une grossièreté ou exprimer une haine envers tel ou tel peuple, proférer des insultes vous rendra célèbre. Les plateaux de télé et les journaux vous ouvrent grand leur espaces, l'audimat oblige. Les éditeurs vous font des offres alléchantes pour publier, même si vous n'êtes pas écrivain (ils le font pour vous). Le pire, c'est que de plus en plus des dirigeants de notre monde, pour récolter des voix, recourent au même procédé. Nous marchons même plus sur la tête. Quant à savoir où nous allons, je vous laisse votre droit de réponse.

Ce vieillard vauriens l'ami des impérialisme qu'il se n'occupe de sa démocratie digusé d'Espagne

Époque révolue on ne prend les armes pour défendre son "coins" que lorsqu'on est informé d'une agression armée éminente de la part d'un pays tiers. Qui a prévenu cet oiseau de mauvaise augure que des colonnes blindées et troupes armées jusqu'aux dents sont postés autour de septa et mélilia. je crois qu'un pays dit maghrébin est derrière ce gnous, car depuis ces derniers événements positifs pour le Maroc pour son Sahara ce pays fait ce qu'il peut pour occuper des places dans ces 2 enclaves, se rapprocher de l'extrème droite espagnole et jouer au frelon nuisible c.a.d nuire au Maroc par le Nord puisque au Sud avec le polisario c'est paralysé

Il y a un proverbe espagnol qui dit: “el agua corriente, no mata a la gente”. C’est le cas de le dire au sujet des diatribes de «Cembrerito». Ce type aux liens historiquement connus avec la junte militaire algérienne, peut bien dire haut et fort ce qu’il veut. Désormais, Cembrerito, il faudra compter avec le Maroc; parce que l’ère de gloire des journalistes-mercenaires d’une certaine gauche provocatrice et anarchiste est révolue. Cembrerito en a fait partie pendant plusieurs années; mais comme le dit l’adage marocain: «le vieux singe n’apprend pas!» Clairement, ce vieux rôdeur de certains milieux des plus hostiles au Maroc n’a plus la quote; donc, il essaie de s’accrocher comme il peut en faisant des déclarations radicales frôlant même l’incitation au crime. Pero que miserable gilipollas!

C'est un vrai plaisir de voir le Maroc trouver la solution face à ses ennemis qui dans l'impasse font et disent n'importe quoi. J'ai lu de nombreux articles de ce soi-disant journaliste dans un soi-disant site d'information algérien TSA pour ne pas le nommer. A chaque fois à charge sur le Maroc sur différents sujets. Une haine quasi-freudienne. En attendant, ni l'Europe ni l'Espagne ne feront rien et lui va souffrir en silence. Et c'est là notre grand plaisir. Et s'il peut nous sortir d'autres articles, on lui sera reconnaissants car elle exprimera cette souffrance et c'est notre meilleur cadeau. Continuez M. Ignacio.

Ignacio Cembrero est d'une connerie prolifique. Et sa connerie est connue de tous les marocains. Il aboie dans l'espoir de monayer son silence moyenâgeux !

0/800