Sécheresse: Laftit incite les walis et gouverneurs à appliquer des restrictions d’eau

Abdelouafi Laftit, ministre de l'Intérieur.

Abdelouafi Laftit, ministre de l'Intérieur. . DR

Dans une note datée du 17 février 2022, dont Le360 détient une copie, le ministre de l’Intérieur invite les walis et gouverneurs à assurer la mise en oeuvre nécessaire «d’une gestion rationnelle des ressources en eau disponibles».

Le 19/02/2022 à 12h28

Face à la rareté des pluies et à la baisse du niveau des eaux dans les barrages, le gouvernement passe à l’action.

Dans une note adressée aux walis des régions et gouverneurs des préfectures et des provinces du royaume, le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit les invite à activer les commissions préfectorales et provinciales prévues par l'article 89 de la loi 36-15 relative à l'eau.

L'objectif est d'assurer la coordination et le suivi de la mise en œuvre des actions nécessaires à une gestion rationnelle des ressources en eau disponibles pour la préservation de la ressource et garantir l'approvisionnement en eau potable dans des conditions satisfaisantes.

En outre, Laftit incite les walis et gouverneurs à prendre des mesures complémentaires. Ainsi, sept recommandations ont été formulées par la note du ministère de l’Intérieur:

- Le lancement de campagnes de sensibilisation à la protection des ressources en eau et à la rationalisation de la consommation d'eau;

- L'application de restrictions sur les débits d'eau distribués aux usagers;

- L'interdiction de l'arrosage des espaces verts à partir des eaux conventionnelles (eau potable, eau de surface et eau souterraine);

- L'interdiction du lavage des voies et places publiques à partir des eaux conventionnelles;

- L'interdiction des prélèvements illicites d'eau au niveau des forages, des puits, des sources et cours d'eau et des canaux d'irrigation;

- L'alimentation en eau potable par camions citernes de la population rurale touchée par le déficit hydrique;

- La multiplication des efforts de réduction des pertes d'eau dans les réseaux de distribution et de production.

Par Mohamed Chakir Alaoui
Le 19/02/2022 à 12h28

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نثير انتباه المسؤولين أنه أصبح من الضروري حضر زراعة البطيخ الأحمر بجميع مناطق إقليم طاطا خصوصا باشوية فم زكيد حيث تعاني الساكنة من ويلات عدم توفر مياه الشرب بسبب استنزاف مياه الفرشة الباطنية من هذه الزراعة التي منذ بدايتها شكلت خطرا محدقا يهدد المنطقة بالجفاف والساكنة بالهجرة المرجو إيقاف هذا الخطر وبصفة استعجالية

هناك مجالات عدة تستهلك الماء بكثرة جدا جدا وهي التي يجب وضع حد لها...ليس فقط في مثل هذه الظروف ولكن بصفة دائمة...لان تبذير الماء امر تبغضه جميع الشرائع والقوانين

Personnellement, j ai toujours souhaité et aimé se pencher sur la réalisation des stations de dessalement de l eau de mer, quoi que ça nécessite des sommes d argent colossales. Mais, c est plus rentables que les barrages, et ce, en ces temps là où la pluviométrie devienne faible et insuffisante. Il faut le signaler clairement, c est que: L eau devienne un matière rare.

Vous vous prenez tjrs trop tard depuis des anne que la nappe friatique a un problème surtous au sud mais qnd ons vois se que les hamam gaspille com eau nooo c.et inadmissible sans parle des arrosages abusé des gazons desole vous n.etes nulle part mais tous sa vous êtes a l.abri triste pour le citoyens marocains qui ne vois pas plus loin que le bout de son nez non plus

Le gaspillage est le plus grand "exploit" de l'homme moderne...

Bonne décision! Parallèlement, il va falloir commencer une campagne de sensibilisation et la société civile est appelée à s’impliquer davantage, au lieu d’hiberner en percevant les aides pour ne rien faire. Dans le monde rural, les responsables locaux, dont les agents et auxiliaires d’autorité doivent appliquer à la lettre les instructions des walis et gouverneurs; sans céder à la tentation du «bakchich»! L’enjeu est majeur, donc tout le monde doit faire sa part. Autrement, il risque d’y avoir des foyers de tensions sociales dans les régions sévèrement déficitaires en réserves hydrauliques. Désormais, les phénomènes naturels comme la sécheresse sont récurrents, et la meilleure façon de réduire leurs effets sur la population reste la lutte contre le fléau de la corruption, devenu endémique.

C'est un peu tard. Il va falloir toute une rééducation pour la gestion de l'eau. On ne fait pas de table ronde et débats sur les plateaux de télévision. On doit sensibiliser les citoyens.

Merci à l'autorité Nationale à leur tête Sa Majesté Mohamed VI que Dieux Le protège pour toutes les œuvres

Passant, tôt le matin devant des administrations publiques, on a mal au cœur quand on voit cette eau qui coule à flots par les tuyaux utilisés par les femmes de ménage. on "balaie" même avec l'eau en pressant la bouche du tuyau. peut être y a t il un travail à faire en sensibilisant les sociétés de nettoyage pour inciter leurs employé(e)s à utiliser de simples sceau d'eau, des serpillières et des balaies. toute économie d'eau aussi minime soit elle est bonne à prendre. Il y a aussi les chasses d'eau qui déversent beaucoup d'eau pour de petits besoins, peut être faut-il sensibiliser les citoyens pour mettre dans les chasses d'eau des bouteilles pleines pour économiser beaucoup d'eau. les spécialistes peuvent s'ingénier à trouver beaucoup de petites astuces avec beaucoup d'effets bénéfiques

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