Le black-out imposé par le Polisario pour étouffer les crimes commis, dans les prisons des camps de Tindouf, à l’encontre des populations sahraouies, vient d’être levé par une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux. Des témoignages saisissants sur l’atrocité des répressions des mercenaires à la solde d’Alger viennent en effet d'être relayés par le biais d'une vidéo vite devenue virale, rapporte le quotidien arabophone Al Ahdath Al Maghribia dans son édition du 5 juin.
"La nouvelle de l’assassinat d’un jeune activiste sahraoui, répondant au nom de Brahim Ould Salek et appartenant à une minorité tribale, fait tache d’huile dans "les camps du Mal"", ajoute le quotidien qui précise que les témoignages ont été notamment recueillis auprès de femmes révoltées par l'ampleur des crimes de la meute séparatiste, encouragée par des services algériens sans foi ni loi.
Des centaines de Sahraouis ont fui, récemment, les camps de Tindouf, de peur d’être assassinés pour s’être exprimés contre les incursions dans la zone tampon, les services algériens poussent la direction du Polisario à se venger de toute personne émettant une opinion contraire à celle dictée par l'establishment militaire algérien.
