La grâce que le roi Mohammed VI a accordée à Hajar Raïssouni, à son fiancé, ainsi qu'à son gynécologue et à l'équipe médicale a été avant tout motivée par des considérations humanitaires. C’est ainsi que s’est exprimé, pour son tout premier point de presse, le nouveau porte-parole du gouvernement, également ministre de la Culture, de la jeunesse et des sports.
Il s'agit cependant là d'une affaire marocco-marocaine, a insisté Hassan Abyaba, une affaire qui a été résolue grâce à l’intervention du souverain, selon ce que stipulent les lois nationales, et en premier lieu la Constitution.
«Le débat est ouvert et nous allons y arriver peu à peu», a ajouté le ministre, à l’issue de la réunion du conseil de gouvernement, dont l'ordre du jour a été, pour l’essentiel, dédié à l’examen du projet de loi de finances, au titre de l’année 2020.