«Le conseil de a ville a besoin de sang neuf. L’arrivée du nouveau maire va redonner une nouvelle vitalité et insuffler une nouvelle dynamique dans la région de l’oriental», a affirmé Safaa Mjid, actrice associative.
Mohamed El Azzaoui, candidat au nom du RNI, a été élu, le lundi 20 septembre, en tant que maire de la ville d’Oujda, et succède ainsi à Omar Hejira, du parti de l'Istiqlal.
Selon cette militante, le nouveau maire élu, Mohamed El Azzaoui, ingénieur de formation, qui a déjà eu l’occasion de se frotter à la gestion des affaires administratives, en sa qualité de directeur régional de l’OFPPT, est le mieux placé pour affronter les problèmes de la ville.
«Oujda a besoin d’espaces verts, de maisons de jeunesses, d’éclairage public, etc.», a également expliqué Safaa Mjid.
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Adil Bouhjari, lui aussi militant associatif, évoque quant à lui quatre chantiers sur lesquels le nouveau conseil de la ville devra prioritairement s’atteler lors de ce nouveau mandat: la "libération de l’espace public" (c'est à dire dégager les trottoirs de l'encombrement des tables de cafés et des marchands ambulants), l'état de la voirie, la valorisation des espaces verts et l'amélioration des transports urbains.
Au cours du scrutin qui l'a porté à la tête du Conseil communal d'Oujda, Mohamed El Azzaoui avait remporté 45 voix, grâce à une alliance tripartite RNI-PI-PAM alors que son adversaire, Abdelilah Saâdi, de l'USFP, a obtenu 8 voix.