DGSN: les Journées portes ouvertes d’Agadir ont battu tous les records

Lors des JPO organisées par la Sûreté nationale du 17 au 21 mai 2023 à Fès.

JPO de la Sûreté nationale, du 17 au 21 mai 2023, à Fès.

Revue de presseLes Journées portes ouvertes (JPO) de la Sûreté nationale, organisées à Agadir du vendredi 17 mai dernier au mardi 21 mai, ont été caractérisées par une affluence record, comparativement aux précédentes éditions. La DGSN a annoncé que le nombre total des visiteurs avait été de 2.120.000 personnes, et que le pic des présences a été enregistré les samedi et dimanche 18 et 19 mai derniers, avec un total de 1.400.000 visiteurs. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

Le 22/05/2024 à 18h13

Le nombre total des visiteurs des Journées portes ouvertes (JPO) de la Sûreté nationale organisées à Agadir a atteint un total de 2.120.000 personnes, un record comparativement aux précédentes éditions.

Selon un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN), cette édition, qui a eu lieu du 17 au 21 mai derniers, est marquée par l’enregistrement d’un niveau record de fréquentation quotidienne, relaie Al Ahdath Al Maghribia de ce jeudi 23 mai 2024.

L’affluence a atteint, au cours du pic de présence, samedi 18 et dimanche 19 mai derniers, un total de plus de 1.400.000 personnes.

Ces visiteurs étaient essentiellement des élèves représentant 845 établissements scolaires, ainsi que ceux d’une école coranique et d’enseignement traditionnel, en plus de la forte présence de représentants de plus de 1.242 associations de la société civile, ainsi que de correspondants de 170 médias et de chaînes de télévision nationales et locales.

En plus de la forte affluence des habitants d’Agadir, Inezgane, Ait Melloul, Taroudant, Tiznit, Tata, Essaouira et Tafraout, la DGSN a veillé à mettre à la disposition des citoyens une application informatique leur permettant d’effectuer une visite virtuelle, sur internet, des espaces de cette manifestation.

L’application «JPO Police» était disponible sur les plateformes les plus utilisées et a permis aux visiteurs de consulter le programme de cette édition ainsi que ses différentes activités pratiques et éducatives, de même que les démonstrations professionnelles.

Cette cinquième édition des JPO d’Agadir s’est aussi distinguée par l’aménagement d’espaces et de stands sur 58.000 mètres carrés, dont 10.000 couverts, qui ont comporté 37 stands de la police scientifique et technique, des unités d’intervention, ainsi que l’usage des technologies et des sciences dans le domaine policier.

Ces espaces ont également compris des stands exposant des applications informatiques et des systèmes d’intelligence artificielle, développés par les experts de la DGSN pour améliorer les services de sécurité des citoyens.

Les JPO ont été caractérisées, cette année, par l’aménagement d’une aire de divertissement de 750 mètres carrés réservée aux enfants et comportant des activités associant le plaisir du jeu à l’apprentissage, par l’utilisation des dernières technologies de la réalité virtuelle et interactive.

À tout cela, il faut ajouter des espaces ouverts dédiés à la présentation des démonstrations professionnelles, effectuées par les cavaliers de la Sûreté nationale et les chiens policiers dressés, ainsi que les forces spéciales.

En ce qui concerne les contenus scientifiques, la cinquième édition des JPO a permis de poursuivre le processus d’ouverture sur les différents acteurs de la société civile, ainsi que les partenaires institutionnels et académiques, à travers l’organisation d’une série de conférences et de rencontres scientifiques.

Les participants à ces séminaires ont abordé des thèmes d’actualité, comme la documentation de l’expérience de la coordination des efforts des forces publiques, des institutions de secours et de la société civile dans la gestion de la catastrophe du séisme d’Al Haouz.

Les conférenciers ont également présenté l’exemplaire modèle marocain dans la gestion des grands événements, l’usage de l’intelligence artificielle dans les domaines policiers, en plus de l’utilisation de l’empreinte génétique et de la preuve scientifique pour rendre justice.

Par Hassan Benadad
Le 22/05/2024 à 18h13