De nombreux croyants, jeunes et moins jeunes, se sont rassemblés, ce vendredi 1er décembre, dans les aires de prière (mousallas) et les grandes mosquées du Maroc. Ils ont élevé leurs voix vers le ciel, implorant la générosité divine pour accorder au Royaume des pluies salvatrices.
À Casablanca, le mousalla de la mosquée Hassan II a été le théâtre d’un rassemblement impressionnant. Les fidèles, réunis en nombre, ont prié avec ferveur, appelant à la bienveillance et à la grâce célestes pour des temps plus cléments.
Dans l’Oriental, Oujda a offert une image de piété profonde. L’air résonnait des invocations et des prières, créant une atmosphère de contemplation et de foi.
Fès, la capitale spirituelle du Maroc, n’a pas dérogé à sa réputation. Ses ruelles, ses mousallas et ses mosquées ont résonné des échos des prières rogatoires. La ferveur des fidèles, imprégnée d’histoire et de tradition, a donné une dimension presque intemporelle à ce moment de communion.
Les rues d’Agadir se sont remplies d’une foule dense. Les voix des fidèles s’élevaient en un chœur puissant, implorant la clémence des cieux.
Tanger a été le théâtre d’une manifestation d’unité et de piété. Les rues, les mousallas et les mosquées de la ville ont été enveloppées dans une atmosphère de dévotion collective, où les cœurs et les voix des fidèles, de tous âges, se sont harmonisés dans une prière commune pour l’arrivée de la pluie.