Outre la cherté de la vie, les petits agriculteurs, dont les revenus dépendent des cultures vivrières, se plaignent des difficultés rencontrées pour leur inscription à l’Assurance maladie obligatoire (AMO), a constaté Le360. «Le manque de communication et la lenteur administrative» seraient, selon eux, les principaux obstacles. Ces difficultés d’inscription à l’AMO les privent, hommes et femmes, de la protection sociale.
D’autres signalent avoir entamé les démarches administratives, alors que le reste se dit peu enthousiaste pour l’instant.
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À propos de la flambée des prix, les paysans de la région d’Essehoul, à 30 km au nord-est de la capitale, font part de «l’impact négatif» de la crise sur leur vie quotidienne. Ils appellent donc à une intervention du gouvernement et espèrent des précipitations suffisantes, garantes de bonnes récoltes. Cet apport pluvial favoriserait également une bonne conduite de l’élevage.
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