Justice: une plainte déposée contre le journaliste espagnol Francisco Carrión pour ses propos injurieux contre les journalistes marocains

Le journaliste espagnol Francisco Carrión.

En réaction aux propos injurieux du journaliste espagnol Francisco Carrión sur le réseau social X à l’encontre des journalistes et médias marocains qui les qualifient de «chiens qui aboient», une plainte a été formellement déposée par la Commission provisoire pour la gestion des affaires du secteur de la presse et de l’édition auprès de la Fédération des associations de presse en Espagne.

Le 09/09/2024 à 20h08

Suite à la publication d’un post sur le réseau social X par le journaliste espagnol Francisco Carrión, qui travaille pour le quotidien El Independiente, dans lequel il compare les journalistes et médias marocains à des «chiens qui aboient», la Commission provisoire pour la gestion des affaires du secteur de la presse et de l’édition a déposé une plainte contre sa personne auprès de la Commission d’arbitrage, des plaintes et de la déontologie de la presse de la Fédération des associations de presse en Espagne, indique un communiqué de la Commission provisoire.

«Ce journaliste a publié ces propos offensants et injurieux à l’égard de la presse marocaine sur son compte X, accompagnés d’une photo de M. Soulaimane Raissouni, avec qui il avait mené une interview dans le numéro du 1er septembre 2024 de son journal», précise-t-on.

De nombreux médias marocains ont commenté cet entretien. Cependant, poursuit la Commission provisoire, «Francisco Carrión a qualifié ces commentaires de simples “aboiements”, ajoutant que les journalistes marocains ayant rédigé ces commentaires étaient des “chiens cherchant à mordre”».

En conséquence, «la Commission provisoire a déposé cette plainte dans le but qu’elle soit examinée par la partie espagnole compétente, afin de prendre les mesures nécessaires pour rendre justice aux journalistes marocains concernés, conformément à la Charte d’éthique de la presse de la Fédération des associations de presse en Espagne», fait savoir la même source, notant que la Fédération espagnole est membre de la Fédération internationale des journalistes, qui adhère à une charte éthique respectée par tous ses membres.

Par Nisrine Zaoui
Le 09/09/2024 à 20h08

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Ignorer l'ignorance sombrer dans le redecule de plus en plus on comprend bien leurs démocraties déguisées

Le journaliste espagnol Francisco Carrión est ce chien galeux qui aboie sans mordre, glapit à la voix de son maître et se roule par terre pour plaire. Il y en a marre de ces individus à la mentalité éculée de néo colon, européo centriste qui se croient le nombril du monde.

C'est plutôt eux qui aboient contre le Maroc avec les oulad franca de Kim jong Tbun mais le Maroc, solide comme un roc , les laisse aboyer comme des chiens 🐕 enragés

Ce fameux journaliste espagnol,à la solde de je ne sais pas qui,aura gain de cause, malheureusement,au nom d'une certaine.liberté d'expression! Rappelez-vous l'affaire Pegasus dans laquelle le Royaume du Maroc fut diffamé en dénonciation calomnieuse et où il en résulte que l'honneur empreint de vérité n'est plus crédible devant ces diablotins s'arguant journalistes,prétextant une sacro-sainte liberté de la presse au détriment de la vérité loin de toute déontologie se voulant respectable... Personnellement,ça me dégoûte autant de personnes qui pérorent pour discrédibiliser la sériosité des journalistes Marocains ayant droit à du respect dans, justement, cette fameuse liberté de la presse tant mise en avant...,et déclamée de manière pompeuse et irrecevable! Vive le Royaume invité à briller!

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