L'image du jour. Plage d'Aïn Diab: un ftour saveur ordures!

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Chaque année au mois de ramadan, on assiste au même triste spectacle... Les riverains, qui viennent prendre le ftour sur le sable pour profiter de la vue de la plage d'Aïn Diab, oublient de ramasser leurs déchets après le repas. Évidemment, le Conseil de la ville est aux abonnés absents.

Le 12/06/2018 à 13h38

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Quoi de plus normal que d'accompagner le" Ftour" de ces splendides graces marines, des derniers heures de la journée et du crépuscule chargé de cet exquis parfum iodé de l’océan, quoi de plus normal oui, mais pour quel gens? surement pas pour un collectif qui n'a cure de la santé même de nos plages et qui est dépourvu du moindre sens de la beauté véritable, celle que nous offre gracieusement mère nature. devons nous réprimander les pauvres gueux qui, s'affaissant oisivement sur le sable accueillant de nos plages, piétinent de leurs gloutonnerie nos sens ecoeurés, en affichant outrageusement un manque évident de savoir vivre et... disons le sans rougir, un manque d’éducation civique; ou bien devons nous placer sur le banc des accusés l’état et l'institution public, ces pères fouettards d’antan qui nous ont appris l'art de ruminer nos mauvaise pensées dans le dénie total de tout savoir être.

machaaallah de véritable porcs mais le plus étonnant c' est qu' ils n en mange pas. et pourtant a nadafa mina l' Iman alors pourquoi considérons nous l' extérieure comme une poubelle il faut taper au porte monnaie ce serais peut être une solution qui inciterais les pollueurs a changer qui sais

Comment est-ce possible d'être aussi sal

Malheuresement l'incivilité de nos compatriotes. Incivilité et corruption, les deux maux incrustés dans nos gènes

Le conseil de la ville comme le consommateur sont tous les deux à blâmer. Un conseil qui s'en fout de la propreté et ça depuis des années, pas seulement dans la plage mais dans toute la ville , un consommateur plus proche du porc que de l'être humain. Les plages sont faites pour le loisir , les baignades et le bien être et non pas comme restaurants geants ouverts à toute racaille de la ville

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