Réaffirmant sa fermeté, le ministre a souligné que la réduction de la durée des études médicales, de 7 à 6 ans, telle que prévue par la réforme académique, est désormais actée et ne sera pas remise en question. Néanmoins, il a précisé que «la 7ᵉ année pourra être consacrée à des stages» pour les étudiants qui le désirent, marquant ainsi une certaine souplesse dans l’application de la réforme. «La position des facultés de médecine a évolué en intégrant un cycle de stages lors de la dernière année», a-t-il ajouté.
Miraoui a également souligné que les efforts de médiation ont été nombreux, avec la participation active d’acteurs, de parlementaires et du Médiateur, aboutissant à la satisfaction de la majorité des revendications étudiantes.
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«Nous avons organisé des examens de rattrapage et tout mis en œuvre pour sauver l’année universitaire en médecine», a-t-il déclaré, précisant que «60% des étudiants grévistes ont pu passer leurs examens», tandis que 40% persistent dans leur mouvement. «Le dialogue reste ouvert, mais il ne le sera pas indéfiniment pour ceux qui s’obstinent », a-t-il conclu, avec un ton résolument ferme.