A quelques mois du recensement général de la population et de l'habitat, le gouvernement a adopté un projet de loi visant à sanctionner les individus refusant de répondre aux questionnaires des recensements, de manière « franche », d’une amende de 2.000 dirhams, alors que les entreprises se verront infliger une amende de 5.000 dirhams.
Par ailleurs, le texte de loi promet également de punir toute personne qui divulgue des informations personnelles dans le cadre des sondages, avec des sanctions allant jusqu’à une peine de sixmois de prison ferme, en plus d’une amende de deux millions de centimes.
Par Rania Laabid
Le 25/05/2015 à 00h02