Taza, Tanger, Tétouan… Les accidents mortels se multiplient sur les routes du Royaume

L'autocar qui s'est renversé près de Taza, à l'origine de l'accident qui a fait 12 morts et 43 blessés, dans la matinée du mardi 22 novembre 2022.

L'autocar qui s'est renversé près de Taza, à l'origine de l'accident qui a fait 12 morts et 43 blessés, dans la matinée du mardi 22 novembre 2022. . Ahmed Echakoury  / Le360     

Revue de presseKiosque360. En une semaine, Les accidents de la route ont fait, dans trois villes du Royaume, des dizaines de morts. En réaction, les parlementaires interpellent les responsables gouvernementaux. Cet article est une revue de presse du quotidien Al Akhbar.

Le 22/11/2022 à 22h11

Ce mardi 22 novembre, treize personnes ont trouvé la mort et 43 autres ont été blessées dans un accident de la route suite au renversement d'un autocar de transport de passagers sur l’autoroute à 6 km de la ville de Taza, rapporte le quotidien Al Akhbar dans sa livraison du 23 novembre.

Les autorités locales et les services de la gendarmerie royale et de la protection civile se sont rendus sur les lieux pour prendre les mesures nécessaires, avait indiqué plus tôt dans la journée une dépêche de la MAP, en précisant que les victimes ont été transférées à l’hôpital provincial de Taza pour recevoir les soins nécessaires.

Alors qu’une enquête a été ouverte par les services de la gendarmerie royale, le quotidien Al Akhbar relève que cet accident est survenu suite au renversement d’un autocar transportant des passagers de la ville de Sefrou à destination de Berkane.

D’après les informations du quotidien arabophone, ce renversement a eu lieu dans la région montagneuse de Bab Marzouka, à quelques kilomètres de l’accès ouest de l’autoroute menant vers la ville de Taza. Dix ambulances ont été dépêchées pour transporter les morts et les blessés à l’hôpital Ibn Baja. Certains de ces derniers sont dans un état critique. Les sources du journal n’excluent pas leur transfert au CHU de Fès.

Ce drame intervient au lendemain d’un autre accident mortel qui a secoué la ville de Tanger. Le lundi 21 novembre dans la zone industrielle de Moghogha, une voiture roulant à grande vitesse a renversé deux individus qui traversaient la route, faisant un mort et un blessé dans état critique, rapporte le quotidien Al Akhbar dans un autre article.

La semaine d’avant, un autre accident est survenu cette fois-ci à Tétouan. Si aucun mort n’est à déplorer, le journal précise en revanche que l’accident a fait d'énormes dégâts, tandis que tous les passagers ont été transférés aux urgences. L’écho de cette série d’accidents mortels est parvenu jusqu’au Parlement.

En effet, le groupe du Rassemblement national des indépendants (RNI) à la Chambre des conseillers a interpellé les services gouvernementaux de tutelle pour apporter des clarifications sur la hausse des accidents, notamment dans la ville de Tanger, conclut le quotidien.

Par Khalil Rachdi
Le 22/11/2022 à 22h11

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imaginez je suis un motard depuis l'âge de 16 ans et je conduis des voitures et des camping car depuis l'âge de 18 ans j'ai été en Europe de l'EST et dans toute l'Europe occidentale je n'ai jamais eu d'accident. Aujourd'hui j'ai 68 ans, j'ai eu la MOTO jusqu'à mes 65 ans une BMW R1200R 125 chevaux. de 0 à 100 en 3 secondes. Au Maroc en 15 jours 3 accidents, à SAÏDIA une voiture immatriculée au Maroc avec un permis marocain le monsieur double dans un virage sans aucune visibilité pour échapper à la voiture qui vient en face de lui me rentre de dans à l'arrière comment il a fait pour avoir son permis il ne sait ni lire ni écrire ni en ARABE et ni aucune langue, il ne connait aucune signal routier. Au Maroc, il n'y pas de permis de conduire, mais le PARMIS DE TUER SUR LA ROUTE.

La vitesse et lentretien sont les accuses de toujours, mais certains affirment que le car a sauté sur un dos d'ane et perdu le controle. Si cela est averé, cela reconfirme que les dos d'anes sont une menace et causent des accidents aux vehicules facilement destabilisés comme les autocars.

Quand il y a un dos-d’âne, on doit ralentir pour le passer. Le conducteur qui ne sait pas cette règle est un âne.

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