Lundi 1er décembre, un auxiliaire d’Etat à Taourirt se rend dans un domicile dépendant de sa circonscription pour remettre au prioritaire un avis d’arrêt de travaux de construction non autorisés. Mal lui en a pris. Le chef de chantier lui répondra par un tabassage en règle. Il sera arrêté par les services de police devant lesquels il reconnaîtra les faits. Aujourd’hui en garde à vue, il risque une peine d’emprisonnement pour violence à l’égard d’un fonctionnaire dans l’exercice de ses fonctions, surtout que le moqadem tabassé a présenté un certificat médical de 18 jours.
Par Le360
Le 03/12/2014 à 16h00
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