Dans les principaux quartiers, notamment populaires, les habitants étaient restés confinés à leur domicile, respectant à la lettre les consignes du ministère de l'Intérieur.
Les artères étaient soumises à des contrôles policiers, répétitifs et stricts.
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L'équipe envoyée en ces lieux par Le360, munie d’une autorisation de circuler lors de ce couvre-feu sanitaire, fut contrôlée pas moins d'une trentaine de fois, ce qui prouve la rigueur qui accompagne la mise en oeuvre de cette mesure drastique.
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Aucun point de commerce n'était ouvert, à l'exception des stations d'essence. Pas une silhouette ne rôdait dans les rues.
Les seules activités constatées lors de cette soirée, à l'exception des patrouilles de police qui multipliaient les points de contrôle, s'étaient limitées aux hôpitaux de la ville, et aux services de nettoyage urbain.
Etaient donc à l'œuvre, cette nuit-là, les agents préposés au ramassage des déchets, et ceux en charge de la désinfection des surfaces.
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