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La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a dressé le bilan de ses récentes opérations dans le cadre de la lutte contre le trafic de produits de pyrotechnie de contrebande, dont les réseaux sont très actifs durant cette période de Achoura. Les détails.

À Marrakech, les cliquetis des taârijas se sont faits plus discrets cette fête de Achoura. Selon plusieurs commerçants, l’affluence sur le marché des instruments de musique traditionnels a nettement diminué cette année. Reportage.

Fête traditionnelle attendue par les petits comme les grands, Achoura est habituellement une aubaine pour les commerces de fruits secs. Pourtant, cette année, les marchés de Casablanca semblent moins fréquentés, malgré la diversité et la disponibilité des produits. Voici ce qu’en disent commerçants et clients.

Les jeux qui accompagnent habituellement la fête d’Achoura ont dégénéré dans plusieurs quartiers de grandes villes en manifestations de violence. Un spectacle désolant, fait remarquer Assabah, dont est tirée cette revue de presse.

Football: le Wydad accroché par Al-Sadd lors de son premier match de Coupe arabe des clubs champions; Malgré la vigilance des autorités, les pétards et les feux d’artifice étaient quand même au rendez-vous pour «fêter» Achoura; Saïdia: la fille d’un ministre accusée d’avoir provoqué un accident en état d’ivresse et d’avoir bénéficié d’un passe-droit; Football: Amrabat plutôt vers l’Arabie Saoudite? Round-up.

Pas besoin d’allumer de grands feux, d’utiliser de dangereux pétards et de mettre en péril l’intégrité physique d’autrui pour célébrer Achoura. En ce sens, Marrakech donne l’exemple. Ambiance.

Achoura commémore le jour où le prophète Moïse (Moussa) a traversé la mer Rouge avec son peuple pour fuir l’armée du Pharaon, il y a 3.000 ans. Pour remercier Dieu, qui les a sauvés, Moïse jeûna ce jour.

Les éléments de la police de Salé ont interpellé, jeudi vers minuit, un ressortissant subsaharien soupçonné d’avoir causé la mort d’une fillette de cinq ans. Récit.

À la veille de la fête de Achoura, les tambourins, les poupées, ainsi que d’autres jouets encombrent les étalages à Derb Sultan. Selon les vendeurs, l’affluence n’est pas au rendez-vous à cause de la cherté des prix des jouets et la baisse du pouvoir d’achat des familles. Reportage.