Tous les articles correspondant à #Algérie-Espagne

Le36. EP415. Il a vu juste et avant tout le monde: pourquoi La Brigade doit des excuses au visionnaire Saâd-Eddine El Othmani
Alors Chef du gouvernement, Saâd-Eddine El Othmani avait suscité la risée générale en affirmant qu’au Maroc, il suffisait d’ouvrir le robinet pour avoir de l’eau potable. Pour les mortels écervelés que nous étions, c’était un peu «ça» la fonction d’un… robinet. Mais c’est oublier la clairvoyance de Dr. El Othmani qui, visionnaire, voyait de loin la pénurie d’eau arriver chez les caporaux du pays voisin et leur incapacité à servir cette ressource vitale à leurs citoyens. Avouez que même tardivement, Saâdou nous en bouche une.
L’Algérie menace d’arrêter la livraison de gaz à l’Espagnol Naturgy: qui sera le grand perdant?
L’Algérie a menacé de suspendre l’approvisionnement de Naturgy en gaz naturel, au cas où cette entreprise espagnole tomberait dans le giron de l’Emirati Taqa. Pourtant, selon son partenaire espagnol, aucune clause du contrat entre la Sonatrach algérienne et Naturgy ne lie la fin de leur partenariat à un éventuel changement d’actionnariat. Un scénario de rupture fera aussi très mal à l’Algérie qui risque de perdre de gros clients ibériques et de mettre en péril le seul gazoduc en activité la reliant à l’Espagne.
L’œil de Gueddar. La junte menace de couper le gaz à l’Espagne
La haine du Maroc, cette mode algérienne qui commence à dater
Le régime algérien croyait que le chef de la diplomatie espagnole se rendait en Algérie pour inscrire les positions de l’Espagne dans l’agenda de ses discussions avec les responsables algériens, non pour discuter des dossiers en suspens entre les deux pays. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.
Sahara: le régime algérien annule in extremis une visite du chef de la diplomatie espagnole à Alger
Programmée depuis belle lurette pour ce lundi 12 février, demandée par Alger et censée sceller une «réconciliation», la visite du ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Albares, en Algérie a été annulée au pied levé par le régime du pays voisin. Derrière le voile d’un souci «d’agenda» se cache le pari définitivement perdu d’un impossible retour de Madrid sur son soutien à la marocanité du Sahara occidental.
Le36. EP385. Ahmed Attaf, diplomate en chef algérien, convoqué par la Brigade
Ahmed Attaf, chef de la diplomatie de la Corée de l’Est, se met à table chez les fins limiers de la Brigade. Il admet qu’il ne pige rien à ses fonctions, n’en saisit ni les tenants ni les aboutissants… Il ne fait qu’exécuter les directives d’un régime sénile à la dérive qui dit tout et son contraire, prend des décisions hâtives et les regrette des années ou des mois plus tard, c’est selon, et toujours quand il est trop tard.
L’œil de Gueddar. Espagne-Algérie: une autre bataille de perdue pour les caporaux
Après 19 mois de crise, l’Algérie rétablit ses relations diplomatiques avec l’Espagne sans obtenir gain de cause
La mort dans l’âme, Alger annonce un nouvel ambassadeur à Madrid, 19 mois après une tonitruante rupture, décidée par la junte en réaction au soutien de l’Espagne à la marocanité du Sahara. Une crise au bout de laquelle, Alger revient bredouille, n’ayant rien pu arracher à l’Espagne. Son fantasmagorique objectif d’un revirement de Madrid sur son irréversible appui à la marocanité du Sahara tombe, ainsi, définitivement à l’eau.
Tebboune radote de nouveau: «Les relations maroco-algériennes ont atteint un point de non-retour»
Dans ses déclarations à la chaîne qatarie Al Jazeera, dans la soirée du mardi 21 mars, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a affirmé que les relations entre le Maroc et l’Algérie «ont atteint un point de non-retour». Ajoutant que l’Algérie n’a fait que «réagir» ou «riposter» (à quoi ?), il a dit regretter que «les deux pays voisins en soient arrivés à ce stade» de rupture totale.
Abdelmadjid Tebboune encense l’Italie pour attaquer la France et regrette «le faux pas» de l’Espagne
Dans un nouveau bavardage télévisé dit «rencontre périodique avec la presse» publique locale, diffusé en différé vendredi dernier, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a consacré le gros du volet international de cette sortie à des attaques acerbes à l’encontre de la France. Qualifiant de «faux pas» le soutien de l’Espagne au plan d’autonomie présenté par le Maroc, Tebboune a donné la mesure de l’étendue de l’isolement d’Alger.