Tous les articles correspondant à #appropriation culturelle

L’œil de Carlos. Couvrez ce caftan que je ne saurais (a)voir...
Pour avoir porté un caftan marocain aux CAF Awards à Marrakech, une journaliste française devient la cible d’insultes
Anne-Laure Bonnet faisait partie des invités à la cérémonie des CAF Awards, qui se déroulait le 16 décembre à Marrakech. Habillée pour l’occasion d’un caftan marocain, la journaliste sportive française ne s’attendait pas à devenir la cible d’insultes sur les réseaux sociaux… à cause de sa tenue.
Le36. EP437. Caftan N’taâ: déboutée par l’Unesco, l’Algérie veut «refaire le match»
Déçu de voir échouer sa magouille d’inscrire le caftan N’taâ au patrimoine immatériel de l’humanité, le régime d’Alger dépêche «son» influenceuse Melissa devant La Brigade. Le but, lister tous les éléments marocains que le voisin entend s’approprier. Il va y avoir du sport, d’autant que «l’autre monde» veut également faire sienne l’organisation de la Coupe du monde 2030.
Le caftan Ntaâ serait donc algérien?
On ne copie que ceux à qui on veut ressembler, convenons-en; et de la même manière, on convoite ce qui ne nous appartient pas pour mieux briller. Raison pour laquelle les Marocains ne tentent pas de s’approprier le karakou ou l’omelette-frites.
Appropriation du caftan marocain: l’Algérie subit un cuisant revers à l’UNESCO
À Asuncion, au Paraguay, où se tient, du 2 au 7 décembre, la 19ème session du Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO, une énième tentative d’appropriation culturelle de l’Algérie a fait l’objet d’un recadrage, après avoir été dénoncée depuis plusieurs mois par le Maroc.
Pillage du patrimoine marocain: en cherchant à inscrire le zellige à l’Unesco, l’Algérie va droit dans le mur
L’Algérie ne veut pas en démordre: le zellige serait algérien. La ministre algérienne de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, vient de claironner, le 18 avril, que son pays projette d’inscrire le zellige à l’Unesco. Qu’est-ce qui se cache derrière ce tapage médiatique et de quels atouts réels dispose vraiment le régime d’Alger dans cette affaire?
Balenciaga & Co, les amoureux d’une culture marocaine qui ne dit pas son nom
Il est révolu le temps où on considérait comme un honneur de voir notre artisanat faire les beaux jours de grandes maisons de mode, de design, de luxe occidentales sans jamais être cité pour autant.
Accusée d’appropriation culturelle, la marque Balenciaga a retiré de sa boutique en ligne les mules copiées sur les babouches marocaines
Quelques jours après avoir déclenché une vive polémique sur les réseaux sociaux en raison d’un cas d’appropriation culturelle évident, la marque de luxe française Balenciaga a fait machine arrière, sans pour autant communiquer.
Pour améliorer l’espace VIP de l’aéroport d’Alger, son nouveau patron veut servir des msemens et des baghrirs, fleurons de «l’art culinaire algérien»
Mokhtar Saïd Mediouni, l’homme que personne n’attendait à la tête de l’aéroport d’Alger, si ce n’est ses maîtres à la tête de la junte, a tenu une conférence devant la presse locale pour présenter les grandes lignes de son nouveau mandat. Sans grande surprise, le Maroc s’est invité à la table de cette conférence par le biais inattendu de sa gastronomie, algérianisée pour l’occasion.
Appropriation culturelle: quand Balenciaga verse dans l’imitation de la babouche marocaine
Inspiration ou appropriation culturelle? La question n’a pas lieu d’être posée tant la réponse est évidente. Des sandales nommées «mules plates» sur la plateforme de la marque de luxe française Balenciaga ressemblent à s’y méprendre aux traditionnelles babouches marocaines.