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Les jihadistes affiliés à Al-Qaïda ont revendiqué une attaque audacieuse et inédite depuis des années mardi dans la capitale malienne Bamako, où ils ont été jusqu’à prendre temporairement le contrôle d’une partie de l’aéroport international.

L’avènement des motos-taxis à Bamako avait fait naître beaucoup d’espoirs auprès d’une jeunesse en quête d’un emploi rémunérateur et stable. Mais ces deux-roues semblent victimes de leur succès. L’anarchie domine désormais le secteur.

Vieux bidons, claviers usagés, téléphones hors d’usage... voilà la matière première, qui une fois passée par les mains expertes d’Ibrahim Bemba Kébé, prend les formes de sculptures qui «bouleversent nos perceptions», des personnages d’une société secrète, les Kôrêdugaw, que l’Unesco rappelle l’urgence de sauvegarder.

Pendant les vacances scolaires, la cité des enfants de Bamako offre aux jeunes maliens un cadre idyllique pour se divertir et s’épanouir grâce aux activités éducatives variées.

Au Mali, à l’instar d’autres pays, c’est la période des vacances scolaires. Pendant les 3 mois que durent celles-ci, il faut trouver les moyens de meubler le quotidien des enfants. Si certains parents fortunés offrent des colonies de vacances à leurs enfants, d’autres, quand les moyens le permettent, font le tour des sites touristiques et de jeux de la capitale malienne.

Le Syndicat autonome des conducteurs de taxi du Mali a procédé le samedi 1er juin 2024, à Bamako, au lancement de son projet intitulé «Taxi en ligne». L’objectif est de faciliter et de sécuriser les déplacements dans la capitale malienne.

Avec toutes les facilités qu’elle offre, la vente en ligne progresse à un rythme soutenu et permet d’écouler un éventail de marchandises, allant de la voiture au sac à main. Mais d’indélicats opérateurs profitent des failles du système et les transactions se transforment alors en arnaques.

On y égorge des moutons et des coqs. On y fait des dons de cola et de lait. En plus d’être obligatoirement de couleur blanche, ces offrandes sont toutes dédiées aux aïeux toujours vénérés et aux esprits qui, dit-on, habitent les lieux. A Chouta Dounou, sur les rives du Fleuve Niger, de nombreux Bamakois viennent accomplir leurs rituels les lundis, jeudis et vendredis après la prière.

Pour des raisons que l’on devine aisément, il est devenu plutôt rare pour un Malien de prendre les trois repas du jour au domicile familial. Alors, outre la restauration traditionnelle, de nouveaux modes mobiles, généralement des tricycles, se développent à Bamako. Mais attention, un médecin spécialiste regrette que l’hygiène soit la dernière roue de la charrette.