Tous les articles correspondant à #Bassirou Diomaye Faye

Le Sénégal, qui a déjà mis en orbite son premier satellite en août dernier, a lancé sa 2e caravane nationale de l’espace, #Spacebus2025 pour susciter l’intérêt des jeunes à cet univers qui promet tant d’opportunités pour «accélérer notre progrès scientifique, technologique et socio-économique» s’est enthousiasmé le président Bassirou Diomaye Faye. Les études spatiales peuvent avoir des applications en agriculture intelligente, l’aménagement du territoire, la santé, la météo prédictive...

Le 24 mars marque le premier anniversaire de l’élection de Bassirou Diomaye Faye à la tête d’un pays où les affaires urgentes s’accumulaient: chômage des jeunes, dette publique, migration clandestine, voisinage instable... En dépit de ces dossiers chauds, le jeune président et son Premier ministre, Ousmane Sonko, ont choisi «la voie de la rupture.» Y sont-ils parvenus?

Face aux turbulences économiques mondiales, exacerbées par des crises successives (pandémie de COVID-19, guerre en Ukraine et autres tensions géopolitiques), le Sénégal s’interroge sur sa capacité à se réapproprier les leviers de son développement. Alioune Ndiaye, expert en développement international, nous livre une analyse sur les clés pour atteindre la souveraineté et l’autosuffisance, tout en naviguant entre les opportunités et les défis qui se présentent.

Avec un président de la République d’à peine 40 ans, le Premier ministre Sonko son ainé de dix ans, El Malick Ndiaye élu président du Parlement à 41 ans, le constat est vite fait: la classe dirigeante se rajeunit. Et que dire du trentenaire Jean-Michel Lat Ndam, patron de l’Agence sénégalaise d’électrification rurale? Rien d’autre que la lourde tâche que porte cette jeune équipe de dirigeants sur ses épaules.

Au Sénégal, la course à la députation est lancée. Après la dissolution du Parlement par le président de la république, les élections législatives anticipées auront lieu le 17 novembre prochain. Pour cette législature, les Sénégalais veulent être bien représentés.

Après l’échec de la dissolution du Conseil économique social et environnemental et du Haut conseil des collectivités territoriales, le nouveau gouvernement et la majorité parlementaire sont à couteaux tirés. Ce premier différend entre l’exécutif et le législatif risque d’en provoquer d’autres.

Deux sommets aux visées diamétralement opposées, voilà un évènement dont se serait bien passée une région déjà confrontée à un éventail de difficultés. Droits dans leurs bottes, les pays de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) ont confirmé leur volonté de se séparer de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao). Même si toutes les options restent envisageables, il est à craindre qu’il n’y ait que des perdants dans ce divorce à moins que les deux organisations ne parviennent à cohabiter.

Le conseil des ministres du mercredi est désormais très attendu pour son lot de nominations de nouveaux profils à la tête des directions générales en remplacement des dirigeants de l’ex-régime. Premier constat, la jeunesse des responsables choisis par le président Bassirou Diomaye Faye.

Renégociation des contrats pétroliers et gaziers, sortie du franc CFA et souveraineté économique, voici le triple défi auquel fera face le nouveau président sénégalais Bassirou Diomaye Faye durant son quinquennat. Au-delà des actions prioritaires, dont la bonne gouvernance et la réduction du coût de la vie, ces trois chantiers nécessitent du temps et pas seulement. La stratégie du nouveau gouvernement qui repose sur le «Projet» et l’attelage gouvernemental composé de compétences avérées issues essentiellement du parti au pouvoir -Pastef- constituent un atout indéniable.