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Le Maroc multiplie les opérations de démantèlement de cellules affiliées à Daech, des interventions qui mettent le doigt sur l’ampleur et la gravité d’une menace en mutation continue. Et comme l’indique le Département d’État américain dans son rapport annuel de 2024, le Royaume se classe parmi les dix pays les plus performants dans la lutte contre le terrorisme.

Lors d’une conférence de presse tenue le lundi 24 février, le directeur du Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ), Habboub Cherkaoui, a indiqué que les membres de la cellule terroriste récemment démantelée agissaient sous les ordres du dénommé Abderrahmane Sahraoui. C’est ce dernier qui leur a fourni les armes et leur a indiqué l’emplacement des caches. Une revue de presse tirée d’Al Ahdath Al Maghribia.

Il a fallu près d’un an de travail minutieux au Bureau central des investigations judiciaires pour démanteler la récente cellule terroriste, a révélé son directeur, Cherkaoui Habboub. Cette opération a été rendue possible grâce aux informations précises fournies par les services de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST).

Lors de la conférence de presse donnée ce lundi 24 février, le patron du Bureau central d’investigations judiciaires, Cherkaoui Habboub, est revenu avec force détails sur les desseins que nourrissent les mouvements terroristes au Sahel et au sud du Sahara s’agissant du Maroc. Derrière les plans macabres en gestation, se cachent des «ambitions» autrement plus grandes: une implantation durable dans le Royaume et l’internationalisation des activités des branches terroristes africaines.

Lors d’une conférence de presse donnée ce lundi 24 février, le directeur du Bureau central d’investigations judiciaires, Cherkaoui Habboub, a révélé l’identité du commanditaire du plan terroriste avorté mercredi 19 février dernier. Il s’agit de Abderrahman Saharaoui, un ressortissant libyen officiant comme haut dirigeant du groupe terroriste Daech au Sahel.

Pensée pour désengorger la capitale voisine, la ville nouvelle de Tamesna s’est vite muée en une cité-dortoir sinistre, privée des services publics et des infrastructures les plus élémentaires. Résultat: un terreau idéal pour les dérives les plus inquiétantes. C’est là que des éléments terroristes ont été arrêtés, et où la dernière opération antiterroriste du pôle DGSN-DGST a mis la main sur un arsenal d’explosifs en pleine préparation. Plongée au cœur d’un échec urbain devenu une bombe à retardement.

Le Maroc a toujours été à la pointe dans la lutte contre le terrorisme islamiste, a souligné Alain Juillet, ancien directeur du renseignement au sein de la Direction générale de la sécurité extérieure française (DGSE).

Les Marocains découvrent l’ampleur d’une cellule terroriste prête à passer à l’acte; Dans l’imaginaire algérien, la CAF a décidé de retirer l’organisation de la CAN au Maroc; Géopolitique: quand Donald Trump détruit son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky sur Twitter; Football: Ismail Saibari star de la soirée avec le PSV Eindhoven. Round-up.