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Forafric, acteur majeur de la minoterie au Maroc, restructure ses activités en cédant plusieurs actifs stratégiques, notamment dans la logistique et le blé dur. Cette réorganisation vise à renforcer sa présence sur le marché du blé tendre, un secteur clé pour son avenir. Cet article est une revue de presse tirée de Challenge.

L’Afrique constitue le principal marché d’exportation, avec le Sénégal en tête des destinations. L’Union européenne arrive en seconde position, suivie du Togo, du Bénin, de la Guinée, de la Côte d’Ivoire et du Burkina Faso. Une revue de presse tirée de L’Economiste.

Une récente étude de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement a identifié 15 pays africains dont la dépendance aux importations de céréales atteint des niveaux critiques supérieurs à 70% de leur consommation. Autant de pays qui pourraient être exposés à des flambées spéculatives des prix les semaines à venir, suite à la décision russe de restreindre ses exportations céréalières en 2025, après une récolte 2024 en baisse de 10 millions de tonnes par rapport à 2023.

Le Maroc instaure un nouveau système de restitution pour encourager l’importation de blé tendre entre le 1er janvier et le 30 avril 2025. Objectif: sécuriser son stock en céréales dans ce contexte de sécheresse.

Après avoir signé un protocole d’accord avec le Maroc le 29 novembre, la Russie, qui a déjà exporté plus de 650.000 tonnes de blé tendre dans le Royaume depuis juillet dernier, ambitionne de livrer au total 1 million de tonnes de cette céréale au Royaume durant la campagne 2024-2025, et passer à 1,5 million de tonnes par an à l’avenir. Détails.

Le Maroc et la Russie ont signé, vendredi 29 novembre à Casablanca, un protocole d’accord visant à faciliter l’exportation de céréales russes dans le Royaume. En voici les détails.

Ce programme a déjà permis de développer de nouvelles variétés de semences pour les trois principales céréales, à savoir le blé dur, le blé tendre et l’orge. Par ailleurs, les recherches s’intensifient pour inclure d’autres cultures céréalières comme l’avoine ou le triticale. Une revue de presse tirée de Finances News.

À fin 2023, les émissions de dépenses avaient dépassé 39,19 milliards de dirhams. À fin octobre dernier, elles s’élevaient à 11,2 milliards de dirhams sur un total prévu de 16,36 milliards pour l’année en cours. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.

La période de juin à octobre 2024 confirme une tendance à la hausse des importations, mais à un rythme moins soutenu. Concernant les prix du blé tendre, une stagnation est observée sur le marché international, bien que des perspectives de baisse soient envisagées. Une revue de presse tirée des Inspirations Eco.