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Cette année, un fait nouveau a été enregistré au mois d’août en matière d’importation de blé tendre: la Russie a détrôné la France de sa première place de principal fournisseur du Maroc pour ce produit agricole, première place occupée pendant plusieurs années. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.

Les affres de la crise due à la sécheresse sévère que connaît le Maroc continuent de se faire sentir. La preuve: une montée en flèche des importations de céréales et légumineuses au titre du troisième trimestre de l’année en cours. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.

Parmi les réformes qui ne sont pas encore lancées pour parer au manque de pluies, il faudra compter avec la commercialisation de nouvelles variétés développées par l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) via la possibilité de création de filiales à vocation commerciale. Une revue de presse de L’Économiste.

En juillet, la Russie était le deuxième fournisseur du Maroc en blé tendre derrière la France, avec un volume de 149.050 tonnes. Soit plus de 22% de la quantité totale importée par le Royaume durant ce mois. Les détails.

Le ministre de l’agriculture, Mohamed Sadiki, a annoncé une série de mesures pour la campagne agricole 2024-2025 qui vont de l’approvisionnement en semences et engrais à une meilleure gestion de l’eau d’irrigation. Cet article est une revue de presse tirée de L’Observateur du Maroc et d’Afrique.

Quantités, pays fournisseurs, ports de débarquement... découvrez, en infographie, toutes les données sur les importations de blé tendre effectuées par le Maroc.

La production de blé chuterait de 40% cette année au Maroc, selon la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture), tandis que les importations devraient naturellement augmenter. L’impact sur l’économie nationale sera lourd. Cet article est une revue de presse tirée de L’Observateur du Maroc et d’Afrique.

Les importations marocaines du blé devraient s’accroître en 2024 de 19%, à 7,5 millions de tonnes, pour compenser le repli de sa récolte de près de 40% par rapport à l’année dernière, a indiqué l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).

Le ministère américain de l’Agriculture (USDA) a revu en nette baisse ses prévisions de récolte mondiale de blé pour la campagne 2024/25, sous l’effet de moindres productions attendues en Russie, en Ukraine ainsi que dans l’Union européenne.