Tous les articles correspondant à #Chantage

Sur le réseau social Snapchat (groupe Meta), le compte anonyme «Hamza mon bébé» semble avoir été réactivé. Désormais, son (ou ses) animateur(s) semble viser des influenceuses, accusées de «vendre du rêve aux gens».

Une opération menée conjointement par la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) et la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST) à Fès, le mardi 13 août, a permis de démanteler un réseau de chantage fait aux automobilistes, de faux, d’usage de faux et d’usurpation de fonction, et d’interpeller huit suspects impliqués dans ces activités criminelles.

Cinq membres d’une bande criminelle ont comparu lundi dernier devant la chambre criminelle près la cour d’appel de Rabat. Les mis en cause sont accusés d’enlèvement, de séquestration, de torture et de demande de rançon à l’encontre d’un ressortissant arabe. Cet article est une revue de presse d’Assabah.

Nouveau rebondissement au Parti de l’Istiqlal, secoué par l’affaire portée devant la justice et impliquant deux de ses membres, Rafiaa Mansouri et Noureddine Moudiane. Ce dernier a décidé de geler ses fonctions de président du groupe parlementaire à la Chambre des représentants. Les détails.

L’ancienne députée, Rafia El Mansouri, a déposé une plainte contre l’actuel chef du groupe parlementaire du parti, Noureddine Mediane. Une enquête a été ouverte par les services chargés des crimes électroniques à la police judiciaire. Une revue de presse tirée des quotidiens Al Ahdath Al Maghribia et Al Akhbar.

Le diffamateur en série « Dayekh », recherché dans le cadre de plusieurs affaires, vient d’être arrêté à l’aéroport Mohammed V alors qu’il tentait de fuir en Turquie. Cette revue de presse est issue d’un article d’Assabah.

L’enquête se poursuit dans l’affaire des individus soupçonnés de trafic de nouveau-nés dans des hôpitaux. Le parquet de Fès a prolongé la garde à vue des prévenus afin de déterminer d’éventuelles ramifications du réseau. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

On en sait plus sur les 30 personnes arrêtées à Fès et accusées de faire chanter les patients et leurs familles qui se dirigent vers les hôpitaux publics. Parmi les prévenus figure un médecin. Les détails dans cette revue de presse basée sur un article d’Al Ahdath Al Maghribia.

En collaboration avec la Direction générale de la surveillance du territoire, la Brigade régionale de la police judiciaire (BRPJ) a arrêté, le mardi 30 janvier à Fès, plus de 20 agents de sécurité privée. En poste dans des hôpitaux publics de la ville, ils sont accusés d’imposer aux patients le paiement de pots-de-vin pour accéder aux services des établissements de santé.