La chambre criminelle de la Cour d’appel de Casablanca a condamné, vendredi 3 mai 2024, le chirurgien plasticien Hassan Tazi à trois ans d’emprisonnement, dont deux ferme et un avec sursis, après qu’il a été décidé de ne pas le poursuivre pour traite des êtres humains. Le chirurgien ayant déjà purgé sa peine, il est libre de ses mouvements.