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Confrontée à une porosité sans précédent de ses frontières, la Libye a convoqué, le week-end dernier, une réunion sécuritaire avec ses voisins, à laquelle ont assisté les chefs des renseignements militaires de cinq pays (Tunisie, Niger, Tchad, Soudan et Algérie). Obnubilée par le dossier du Sahara marocain, l’Algérie, par la voix du chef de sa Direction centrale de la sécurité de l’armée (DCSA), a ouvertement attaqué le Maroc, qui n’avait pourtant rien à voir avec l’objet de cette réunion, à part qu’il dérange Alger par son poids diplomatique auprès des différents belligérants en Libye.

La DGSN a opéré sur tous les fronts en cette année 2024, tout en consolidant ses partenariats avec les services de sécurité étrangers et l’Organisation internationale de police criminelle (Interpol). Un responsable sécuritaire marocain a d’ailleurs été élu à la majorité en tant que vice-président de cette organisation pour l’Afrique. Cet article est tiré d’une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

Le directeur général de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire (DGSN-DGST), Abdellatif Hammouchi, a reçu, lundi 25 novembre à Rabat, l’administratrice générale de la Sûreté de l’État belge, Francisca Bostyn, en visite de travail dans le Royaume à la tête d’une importante délégation sécuritaire.

Grâce à des informations précieuses et précises, fournies par la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST) aux autorités sécuritaires compétentes espagnoles, des attentats suicides ont été déjoués dans le préside de Melilla. Un kamikaze présumé a été neutralisé avant qu’il ne passe à l’acte, rapporte le quotidien Assabah, dont est tirée cette revue de presse.

Des partenariats avec les organismes les plus en vue de la planète, une élection haut la main à la vice-présidence d’Interpol pour l’Afrique et une désignation à l’unanimité du Royaume comme pays hôte du plus grand rassemblement des services sécuritaires au monde. Portée par un Abdellatif Hammouchi aussi fin stratège qu’infatigable homme de terrain, la stratégie sécuritaire du Maroc est plus que jamais érigée en modèle à l’échelle internationale. Et ce n’est pas né d’hier. Décryptage.

L’élection du Royaume, à une grande majorité, en tant que vice-président d’Interpol pour l’Afrique, est une reconnaissance internationale de l’efficacité, de l’expertise, de l’efficience, de l’expérience et du rôle pionnier au service de la coopération Sud-Sud des services sécuritaires marocains (DGSN-DGST). Les détails dans cette revue de presse qui provient du quotidien Al Akhbar.

Le Maroc a été élu, ce jeudi 7 novembre, à la vice-présidence d’Interpol pour l’Afrique pour trois ans, lors des élections du comité exécutif de l’organisation. La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) avait présenté à ce poste la candidature du préfet de police Mohamed Dkhissi, directeur de la police judiciaire et chef du Bureau central national d’Interpol à Rabat.

Avec l’aide de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST), la police espagnole a appréhendé deux présumés jihadistes, le mardi 22 octobre, à Mellilia. Les détails.

Des informations fournies par la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST) ont permis d’aboutir à l’arrestation, par les services sécuritaires espagnols, d’un dangereux présumé terroriste, qui agissait en loup solitaire. Désormais mis hors d’état de nuire, l’individu avait appelé à commettre des attentats-suicides dans le préside de Melilla. Une revue de presse d’Assabah.