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Un réseau criminel composé de plusieurs individus, dont des militaires et des civils, a été démantelé par les services sécuritaires compétents à Rabat. Les éléments de ce réseau confectionnaient des dossiers de crédit à la consommation, sur la base de faux documents, en falsifiant la signature d’un colonel. Voici leur modus operandi, dans cette revue de presse tirée du quotidien Assabah.

Pour la deuxième année consécutive, la société de financement Salafin participe au salon Auto Occasion, organisé par le magazine Autonews, qui se poursuit jusqu’au 15 octobre 2024 à Casablanca. Le point avec Mohammed Er-Raoui, directeur général adjoint en charge du pôle commercial, marketing et digital.

Le coût des crédits est en légère hausse au deuxième trimestre de l’année, tandis que les dépôts bancaires continuent de progresser selon le dernier rapport de Bank Al-Maghrib. Cet article est une revue de presse tirée de L’Observateur du Maroc et d’Afrique.

35% des revenus des ménages sont consacrés aux crédits, révèle le Rapport 2023 sur la stabilité financière, pour un encours de l’ordre de 411 milliards de dirhams. Les détails dans cette revue de presse qui provient du quotidien Assabah.

L’Association professionnelle des sociétés de financement (APSF) a adopté, sous l’égide de Bank Al-Maghrib, un code éthique en vue d’encadrer les relations entre les sociétés de crédit à la consommation et les intermédiaires en octroi de ce crédit.

Les crédits bancaires à la consommation stagnent, après un cycle de ralentissement. Ils ont même affiché une baisse, quoique légère (-0,1%), à fin avril 2024, selon les derniers chiffres publiés par Bank Al-Maghrib.

Le coût du crédit bancaire reste sur sa tendance haussière, affichant un taux moyen global de 5,40% au titre du premier trimestre de 2024, comme l’indique une enquête de Bank Al-Maghrib sur les taux débiteurs.

Les ménages sont de plus en plus enclins à épargner et à moins s’endetter auprès des banques pour l’achat de biens durables. c’est ce qui ressort des dernières statistiques monétaires publiées par Bank Al-Maghrib et de la note de conjoncture du Haut-Commissariat au plan.

Les banques participatives souffrent d’une faible part de marché, mais celle-ci n’est pas un indicateur pertinent, vu que ces banques ont une cible particulière, indique Abderrahmane Lahlou, président de l’Académie de la finance participative. L’expert note également que leur activité reste dominée par le financement immobilier, mais s’oriente de plus en plus vers d’autres créneaux. Ces banques sont également attendues sur le segment des produits de participation aux profits et aux pertes.