Tous les articles correspondant à #Croissance

Croissance: les recommandations de la Banque mondiale
Le Maroc doit accélérer ses réformes structurelles pour assurer une croissance durable et inclusive. Les priorités incluent la simplification administrative, la digitalisation des services publics et l’amélioration du cadre juridique des entreprises. Ces mesures renforceront l’attractivité économique du pays et favoriseront l’emploi, notamment pour les jeunes et les femmes. Une revue de presse tirée de Finances News.
La Banque mondiale prévoit une croissance de 3,6% pour l’économie marocaine en 2025
La Banque mondiale a indiqué, dans un nouveau rapport de suivi, que l’économie marocaine devrait croître de 3,6% en 2025, sous l’effet de l’amélioration des conditions climatiques. Le PIB agricole devrait ainsi connaître une hausse de 4,5%, alors que la croissance non agricole devrait ralentir à 3,5%.
Étude: 81% des chefs d’entreprise sont optimistes quant aux perspectives de croissance pour 2025, selon PwC au Maroc
Une étude de PwC au Maroc révèle que 81% des chefs d’entreprise se disent optimistes quant aux perspectives de croissance pour l’année 2025, contre une proportion de 90% en 2024. Ils sont 52% à déclarer être confiants sur l’évolution de l’économie mondiale, contre 58% un an plus tôt.
La baisse du taux directeur est un signal fort mais pas suffisant pour relancer l’économie, selon l’économiste Mohammed Jadri
La baisse du taux directeur boostera aussi bien l’investissement que la consommation, indique l’économiste Mohammed Jadri. Toutefois, nuance-t-il, cet impact est à relativiser, le taux directeur n’étant pas le seul facteur déterminant pour la croissance économique.
La résilience de l’économie marocaine décryptée par le FMI
L’économie marocaine a fait preuve de résilience face aux chocs récents, avec une croissance prévue à 3,9% en 2025, soutenue par des réformes structurelles et des investissements en infrastructures. Le FMI a validé la troisième revue de l’accord FSR, permettant un décaissement supplémentaire de 496 millions de dollars pour renforcer la gestion de l’eau et la libéralisation du secteur énergétique. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.
Le FMI approuve le décaissement de 496 millions de dollars en faveur du Maroc
Le Conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a approuvé le décaissement en faveur du Maroc de la troisième tranche au titre de la facilité pour la résilience et la durabilité, pour un montant d’environ 496 millions de dollars.
Selon la BERD, l’économie marocaine devrait enregistrer une croissance de 3,6% en 2025
La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) prévoit une croissance de 3,6% pour l’économie marocaine en 2025. Une performance que l’institution financière explique par l’impact positif de la baisse des importations d’énergie, la hausse des transferts de fonds, des recettes touristiques et des exportations du secteur automobile.
Niveau de vie des ménages: la croissance économique est trop faible pour réduire la vulnérabilité, selon l’économiste Nabil Adel
La classe moyenne n’a pas bénéficié des fruits de la croissance ni des politiques de redistribution au même niveau que les couches les plus pauvres et les plus riches, selon le HCP. Interrogé à ce sujet par Le360, l’économiste Nabil Adel estime que le vrai problème n’est pas la redistribution de la richesse mais sa création, pointant une croissance économique extrêmement faible pour pouvoir réduire la vulnérabilité à la pauvreté.
Essor économique: le Maroc vu par Bpifrance
Le Maroc confirme son statut de hub économique africain grâce à des investissements stratégiques et des secteurs en forte croissance, selon la Banque publique d’investissement française. Objectifs: 52% d’électricité renouvelable, 1 million de véhicules produits par an et 26 millions de touristes d’ici 2030. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.
Perspectives: qu’est-il attendu pour 2025?
L’année 2025 devrait accentuer la divergence entre l’économie américaine et celle de la zone euro. Plusieurs pays émergents sont fragilisés par l’appréciation du dollar et la fuite des capitaux. Cet article est une revue de presse tirée du magazine Finances News Hebdo.