Tous les articles correspondant à #DGAPR

La DGAPR réfute les nouvelles accusations de l’ex-détenu Omar Radi
Mise en cause par l’ancien détenu Omar Radi dans une vidéo publiée sur YouTube, la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a publié un communiqué dans lequel elle réfute point par point les propos de ce dernier concernant ses conditions de détention à Aïn Sebaâ 1 et Tifelt 2. L’administration assure qu’Omar Radi a bénéficié de plusieurs mesures d’accompagnement durant son incarcération, et dénonce ce qu’elle considère comme des allégations infondées et politiquement motivées.
Prisons: généralisation de la plateforme digitale «Ziara» à tous les établissements pénitentiaires
La Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a annoncé la généralisation, depuis le lundi 10 mars, de la plateforme numérique «Ziara» à l’ensemble des établissements pénitentiaires. Cette fonctionnalité permet de réserver un rendez-vous pour la visite d’un proche détenu.
Retour des audiences à distance dans les tribunaux de Tanger
Les tribunaux de Tanger ont décidé de traiter les affaires concernant les détenus de la prison locale de Tanger 2 par visioconférence. Cet établissement pénitentiaire est celui où ont été enregistrés le plus de cas de rougeole parmi les détenus et le personnel pénitentiaire. Une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.
Avec 105.000 détenus, la population carcérale continue d’augmenter
Les prisons du Maroc souffrent d’une surpopulation chiffrée au mois d’octobre 2024 à quelque 105.000 détenus contre 103.000 à la même période de l’année précédente.
Prisons: les détenus autorisés à recevoir des paniers-repas dès le 2ème jour de Aïd Al-Adha
La Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a indiqué, ce vendredi 7 juin, que les détenus seront autorisés à recevoir un seul panier de denrées alimentaires à partir du 2ème jour de Aïd Al-Adha et durant une semaine. Un calendrier sera établi dans ce sens par les établissements pénitentiaires.
Justice: la libération conditionnelle, parent pauvre de la pratique pénale au Maroc
Considérée comme l’un des mécanismes les plus adéquats pour réduire le poids de la surpopulation carcérale et faciliter la réinsertion des détenus, la libération conditionnelle tarde à trouver sa place dans la pratique pénale au Maroc. Pourquoi? Voici quelques éléments de réponse.
Libération conditionnelle: une solution à la surpopulation carcérale
Dans une allocution à un colloque du ministère de la Justice, El Hassan Daki, le président du ministère public, a rappelé l’importance du dispositif de la libération conditionnelle, afin de répondre au problème de la surpopulation carcérale, et pour mieux réhabiliter et réinsérer les prisonniers. Une revue de presse d’Al Akhbar.
Libération conditionnelle: le ministère public appelle à plus de témérité
Le nombre de personnes condamnées à des peines de prison ferme, ayant bénéficié d’une libération conditionnelle, est d’au plus 408 personnes, soit 5% des 6.972 dossiers soumis par la Délégation générale à l’Administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) à la Direction des affaires pénales et des Grâces. Un taux qu’El Hassan Daki, le président du ministère public, juge faible, ce qui l’a incité à appeler les services concernés à faire preuve de plus d’ingéniosité pour mettre en œuvre ce mécanisme, qui permet aux condamnés de recouvrer leur liberté et de s’intégrer dignement dans la société. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.
L’administration de la prison locale de Tétouan dément les allégations d’agression sur un détenu
L’administration de la prison locale de Tétouan a affirmé que le détenu (S.B) n’a fait l’objet d’aucune agression, ni de la part des fonctionnaires de l’établissement pénitentiaire ni de la part des autres détenus.
Prisons: la DGAPR réfute les allégations sur l’existence de dépassements au centre pénitentiaire Toulal 2 à Meknès
La Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a réfuté les allégations relayées par un site électronique sur «l’existence de dépassements à l’encontre de pensionnaires du quartier d’isolement à la prison locale de Toulal 2 à Meknès», «le chantage fait par des fonctionnaires aux barons de drogue» et «des comportements consistant à mettre des détenus au service desdits barons».