Tous les articles correspondant à #Espionnage

Victime d’espionnage, de menaces et d’intimidations de la part du régime algérien, la communauté kabyle installée au Canada demande au gouvernement canadien d’assurer sa protection et de faire cesser ces actes gravissimes.

Dans son rapport annuel 2023 sur l’état de la sécurité nationale, la présidence du gouvernement espagnol écarte tous les soupçons d’ingérence dans les affaires intérieures du voisin du nord par le Maroc. Les accusations d’espionnage sur Pedro Sánchez, dont le Royaume fait l’objet, sont écartées une bonne fois et pour toutes.

La Russie utilise son réseau d’espions, ses médias d’Etat et les réseaux sociaux pour saper la crédibilité d’élections à travers le monde, selon un rapport du renseignement américain publié vendredi et partagé avec une centaine de pays.

Pékin dément les informations diffusées par les médias britanniques, après l’arrestation à Edimbourg, en Écosse, d’un homme soupçonné d’espionnage pour le compte de la Chine. Le Premier ministre britannique Rishi Sunak avait évoqué des «interférences» chinoises dans «la démocratie parlementaire britannique».

C’est un véritable branle-bas de combat que se sont livrées, dans la nuit de mardi à mercredi derniers, les différentes têtes de l’hydre qui dirigent actuellement l’Algérie, un pays gouverné à hue et à dia. Les Emirats arabes unis ont, malgré eux, servi d’artillerie lourde à cette cacophonie, quand un média privé, très proche de la junte algérienne, a annoncé que l’ambassadeur d’Abu Dhabi à Alger a été déclaré persona non grata et prié de quitter l’Algérie dans un délai de 48 heures.

La cour d’appel de Rabat vient de condamner un ressortissant algérien portant la nationalité française pour son implication dans des affaires d’enlèvement avec demande de rançon, torture et trafic international de drogue. Le mis en cause est également accusé d’espionnage pour le compte des services de renseignement espagnols et français, rapporte le quotidien Assabah, dont est tirée cette revue de presse.

Les États-Unis et leurs alliés occidentaux ont accusé mercredi un «cyber-acteur» parrainé par la Chine d’avoir discrètement infiltré les «infrastructures critiques» américaines. Washington a averti que des attaques similaires pourraient avoir lieu dans le monde entier.

TikTok, filiale du groupe chinois ByteDance, a sans surprise porté plainte lundi contre le Montana, l’Etat américain qui a promulgué la semaine dernière une loi pour bannir l’application l’année prochaine.