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Voici les principales mesures fiscales et douanières du PLF 2025
Le projet de loi de finances 2025 apporte son lot de nouvelles mesures fiscales et douanières. Voici les principales nouveautés contenues dans le rapport d’exécution budgétaire et de cadrage macroéconomique triennal.
PLF 2025: le gouvernement table sur un taux de croissance de 4,6%
Le Maroc devrait réaliser une croissance de 4,6% en 2025, selon le rapport d’exécution budgétaire et de cadrage macroéconomique triennal, accompagnant le projet de loi de finances (PLF) de l’année prochaine. Ce document table aussi sur une augmentation de la récolte céréalière à 70 millions de quintaux, correspondant à une hausse de 11% de la valeur ajoutée agricole.
Le gouvernement se montre incapable de juguler le déficit budgétaire
Le déficit budgétaire, qui atteint la somme de 35,2 milliards de dirhams, a augmenté de près de 28% entre juillet 2023 et juillet 2024. À elles seules, les dépenses de fonctionnement émises au cours des sept premiers mois de 2024 totalisent la somme de 168,2 milliards de dirhams. Une revue de presse de L’Économiste.
Financements innovants: cession de 175 bâtiments fonctionnels de l’État pour 25,4 milliards de dirhams en 2023
Les financements innovants ont porté sur la cession de 175 bâtiments administratifs et équipements publics, permettant de mobiliser un financement additionnel de 25,4 milliards de dirhams en 2023 pour le Trésor public .
Les recettes douanières dopées par la forte croissance de l’importation des ovins en 2023
Les recettes du Trésor public au titre des droits d’importation ont affiché une nette croissance au cours des cinq dernières années, avec une progression moyenne de 15% annuelle. Ce rythme s’est accéléré en 2023, se situant à 18,5% par rapport à 2022, grâce à la montée des droits d’importation sur les ovins, mais également sur le sucre et sur les produits soumis au taux de 40%.
Nouveau décompte: en tout, 30 parlementaires poursuivis par la justice
Alors qu’il y a peu, ils n’étaient que 25, dont deux qui ont entre-temps été acquittés, un nouveau décompte de l’ensemble des parlementaires actuellement poursuivis en justice fait état d’au moins 30 députés impliqués dans des affaires en lien avec les responsabilités communales qui leur échoient. Une revue de presse d’Assabah.
Finances publiques: le gouvernement n’exclut pas une sortie du Trésor sur le marché international avant la fin de l’année
Dans une déclaration aux médias en marge des réunions annuelles conjointes des institutions financières arabes, qui se tiennent ce mercredi 22 mai au Caire, la ministre de l’Économie et des Finances, Nadia Fettah, a affirmé que le Maroc «n’exclut pas une sortie sur les marchés financiers avant la fin de l’année» et que le gouvernement «en décidera en temps utile, en fonction des conditions du marché».
Dette souveraine: sur 23 défauts de paiement recensés par Fitch depuis 2009, 5 sont africains
Dans son récent rapport «Sovereign 2023 Transition and Default Study», l’agence de notation Fitch-Ratings dresse un bilan détaillé des défauts souverains survenus ces dernières années. Si les pays africains peinent à juguler leurs déficit budgétaire et leur endettement, leurs situations appellent une analyse nuancée. Une chose est sûre : la prudence restera de mise pour leurs créanciers, qu’ils soient publics ou privés. Tour d’horizon des pays africains mauvais élèves de la notation souveraine.
Finances publiques: repli de 88,8% du déficit budgétaire à fin avril 2024, à 1,18 milliard de dirhams
À fin avril 2024, le déficit budgétaire s’est réduit de plus de 88% en comparaison avec la même période de l’année précédente, à 1,18 milliard de dirhams. Cet allègement spectaculaire est dû principalement à la baisse des dépenses de la compensation et la hausse des recettes fiscales.
Trésor public: un excédent budgétaire de 16,84 milliards de dirhams dégagé à fin mars, à quoi peut-il servir?
Le Trésor a dégagé un excédent budgétaire de 16,84 milliards de dirhams au premier trimestre 2024, contre 6,24 milliards de dirhams un an plus tôt. Cet excédent, qui provient d’un effet conjugué d’une augmentation des recettes ordinaires (11,7%) et d’une baisse des dépenses globales de 1,1%, peut faire l’objet de multiples usages. Il peut être affecté à l’investissement, au placement à court terme afin de le rentabiliser, ou au remboursement de dettes.