Tous les articles correspondant à #FMI

Pour mesurer le niveau de développement, des voix s’élèvent pour la mise en cause du critère de «revenu par habitant», et lui substituer celui de «vulnérabilité». Une telle classification doit ainsi prendre en compte des indicateurs comme l’inéquité du commerce mondial, les règles anticoncurrentielles, le fardeau de la dette ou encore les effets des changements climatiques.

La croissance dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) devrait passer de 1,8 % en 2023 à 2,2 % cette année avant d’atteindre 4% l’an prochain, selon les données publiées mardi par le Fonds monétaire international (FMI). Pour le Maroc, elle sera de 3,1%. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Aujourd’hui le Maroc.

À quelques mois de l’expiration de l’accord sur la Ligne de crédit modulable (LCM) avec le Fonds monétaire international, d’un montant de 5 milliards de dollars, le gouvernement semble décidé à renouveler ce dispositif perçu comme une mesure de précaution contre les chocs exogènes.

Les établissements hôteliers de Marrakech tournent à plein régime. Derrière cet engouement, un nombre considérable d’événements qui se déroulent dans la ville. Plusieurs autres sont prévus cette semaine, dont le Gitex Africa. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.

Pendant des décennies on y a cru. Les Algériens quitteront bientôt leur torpeur, disait-on. On pensait que tout pouvait se régler un jour et qu’on allait prospérer ensemble en Afrique du Nord, une zone sociale et économique d’envergure qui deviendrait la plus belle du continent. On se trompait grave. Car voilà en vérité de quoi l’UMA est le nom en Algérie...

Si l’Egypte, l’Afrique du Sud et le Nigeria sont les pays africains les plus puissants en termes de Produit intérieur brut (PIB) au prix courant exprimé en dollars, le classement est tout autre quand il s’agit de la richesse sociale potentiellement disponible pour chaque habitant.

L’économie marocaine «a continué de faire preuve de résilience face aux divers chocs», a souligné le conseil d’administration du Fonds monétaire international au terme des consultations de 2024 au titre de l’article IV avec le Maroc.

Nadia Fettah, ministre de l’Économie et des Finances, voit d’un bon œil l’évolution de la réforme du régime de change et partage le point de vue du wali de Bank Al-Maghrib, selon lequel les conditions sont aujourd’hui réunies pour franchir une nouvelle étape et élargir la bande de fluctuation du dirham, limitée actuellement à 5%.

Invitée par l’ambassade du Maroc aux Etats-Unis, la ministre de l’Économie et des finances Nadia Fettah a présenté la dynamique réformatrice du Royaume qui s’appuie sur une vision royale inscrite dans la durée. Une revue de presse tirée de l’hebdomadaire La Vie Éco.