À Aïn Sebaâ, une parcelle de 13.000 m² classée espace vert depuis plus de vingt ans s’est retrouvée soudainement transférée au nom d’une société immobilière privée, Bafella SARL. Cette mutation éclair du titre foncier, intervenue fin novembre, a provoqué un véritable séisme politique et administratif, relançant le débat sur la gouvernance et la protection du patrimoine foncier de la capitale économique.