Tous les articles correspondant à #Hydrocarbures

L’insoluble problème qui se pose au «Système» face à la croissance démographique est que, ne produisant pas de quoi habiller, soigner, équiper et nourrir sa population, l’Algérie doit donc tout acheter à l’étranger. En 2024, le quart des recettes tirées des hydrocarbures servit ainsi à la seule importation de produits alimentaires de base… dont l’Algérie était exportatrice avant 1962.

Les trois distributeurs d’hydrocarbures, Afriquia, Ola Energy et Winxo, vont créer une co-entreprise baptisée Morocco Aviation Fuel Services, spécialisée dans le stockage et l’avitaillement en carburant d’aviation dans treize aéroports du Royaume. Détails.

L’Université internationale et l’Université Mohammed V de Rabat organisent la deuxième édition de la conférence internationale sur l’hydrogène vert, du 4 au 6 décembre 2024 à Rabat, sur le thème «Vers un écosystème dédié à l’hydrogène vert», sous le haut-patronage du roi Mohammed VI.

La fin de l’année sera placée sous le signe de la stabilité pour les prix des carburants. Les professionnels du secteur affichent leur optimisme et s’attendent à des coûts inchangés. Cela devrait offrir un certain répit aux automobilistes en cette fin 2024. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.

Après avoir obtenu des résultats en deçà de ses attentes à l’issue d’opérations de forage effectuées dans le champ offshore d’Anchois, au large de Larache, la société énergétique gréco-britannique envisagerait de quitter le Maroc pour se concentrer sur ses gisements en Méditerranée orientale, au Moyen-Orient et en Grèce. Explications.

Huit pays membres de l’Opep+, dont l’Arabie saoudite et la Russie, ont annoncé dimanche une extension de leurs coupes de production de pétrole jusqu’à la fin de l’année, afin de soutenir les cours face à une demande incertaine et une offre qui accélère.

Face aux crises énergétiques aiguës menaçant leur développement économique, un certain nombre de pays africains adoptent le modèle des accords gouvernement à gouvernement en matière d’approvisionnement en carburant. S’ils permettent de se libérer un tant soit peu du joug des cartels et traders pétroliers occidentaux, ces accords ne sont pas, non plus, sans risque.

La dépréciation abyssale du dinar algérien face à l’euro est le fruit d’une dévaluation déguisée savamment orchestrée, depuis plus d’une décennie, par le régime d’Alger pour atténuer le déficit budgétaire découlant de la baisse des recettes tirées des exportations d’hydrocarbures. Loin d’avoir eu l’effet escompté, cette chute monétaire a plutôt créé un cercle vicieux qui plombe une économie sclérosée, totalement désindustrialisée, qui ne produit rien. L’effondrement de la monnaie locale inquiète fortement les Algériens de plus en plus enclins à thésauriser en euros. Analyse.

Dans les années qui viennent, l’Algérie, qui se trouvera au pied du mur, va devoir procéder à des choix économiquement vitaux, mais politiquement explosifs. Et comme l’heure de vérité ne pourra pas être éternellement repoussée, la dernière farce électorale pourrait bien ressembler à un des derniers clous plantés dans le cercueil du «Système».