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Les jardins de la Ménara à Marrakech, réputés pour leur beauté et leur histoire, ont récemment été le théâtre d’un triste événement qui a provoqué une vague de préoccupations parmi les visiteurs et les défenseurs de l’environnement. En effet, un grand nombre de poissons du bassin des jardins sont morts dans des circonstances mystérieuses.

Au centre de Marrakech, où les températures grimpent souvent en flèche, le jardin Moulay Abdeslam ne désemplit pas cet été. Locaux comme touristes, tous se pressent ici pour trouver un peu de répit face à la chaleur étouffante de la ville. Témoignages.

Le grand parc Hassan II de Rabat reste durant la période de l’été une destination prisée par un nombreux public en quête de fraicheur, de détente et de quiétude.

Le Conseil de la ville envisagerait de transformer, en partenariat avec un promoteur immobilier, le parc du 20 août en terrain de football. Les habitants qualifient cette décision de «crime écologique». Une revue de presse du quotidien Al Akhbar.

Les jardins et les espaces verts de Marrakech constituent une échappatoire très appréciée par les habitants et les visiteurs de la ville. Ces derniers viennent y chercher de la fraîcheur, après des journées torrides qui marquent la ville ocre cet été, et y créer, le soir venu, une ambiance festive et familiale.

A Riad, dans la banlieue de Nouakchott, des femmes, mais aussi quelques hommes, se réapproprient l’art de tirer le meilleur de la terre tout en respectant la Terre.

L’un des endroits autrefois les plus attractifs de Yaoundé n’est plus que l’ombre des fauves et de la faune qui faisaient sa réputation.

Les exploitants, depuis plusieurs décennies, des jardins de Sebkha (commune de la banlieue sud-ouest de Nouakchott) n’ont toujours pas de titres fonciers. Ces hommes, qui valorisent un endroit servant de poumon vert à la capitale mauritanienne tout en l’approvisionnant en légumes, vivent une situation de précarité qui les inquiète face à la prédation foncière des hommes d’affaires.

Célébré il y a encore quelques années pour la beauté de sa végétation et de son jardin fleuri, le Parc du prince héritier Moulay El Hassan, à Mohammedia, n’est plus que l’ombre de lui-même. Faute d’entretien, cet espace vert emblématique se trouve aujourd’hui dans un état déplorable, au grand dam des habitants de la ville. Reportage.