Tous les articles correspondant à #La Brigade

Le36. EP424. Sa place est dans un ring, il est fait diplomate: Abdennour Khelifi ou la rage, la vraie, de vaincre
Après la fausse boxeuse des JO, voici le faux diplomate et vrai catcheur de la TICAD. Devant La Brigade, Abdennour Khelifi explique les motivations l’ayant conduit à agresser un représentant marocain: à l’instinct animal d’un taureau que le rouge du drapeau marocain rend fou de rage, s’ajoute la fiche de paie, puisque «no pain, no gain». Il faut bien manger et, à l’évidence, Khelifi en a bien plus besoin que la moyenne.
Le36. EP423. À peine remis du Covid-19 et du séisme, un singe de Jemaâ El Fna souffre du mpox
Il a jugulé les effets dévastateurs du Covid-19 sur le tourisme, tenu bon face à ceux du séisme d’Al Haouz, mais cette fois, il n’en peut plus. Devant la Brigade, un primate de Jemaâ El Fna manifeste sa colère contre ces malheurs qui se suivent et entament invariablement son gagne-pain. Ne serait-ce que par respect donc, ne dites plus «variole du singe», mais mpox. Ce serait la moindre des sollicitudes.
Le36. EP421. Menaçant de ne plus lâcher une goutte, le robinet exprime son ras-le-bol
Il n’en peut plus du mésusage dont il fait l’objet, tant par les ménages et les industriels que par les agriculteurs. Usé et abusé, il se dit victime même des «routini lyawmi» qui aiment à se déhancher en le maltraitant. Cette fois, c’en est trop et le robinet décide à son tour de hausser le ton: ce sera la parcimonie ou la grève générale. L’arrêt sera net et pour longtemps. Alors, ça vous tente?
Le36. EP419. Son prix atteint des sommets, la figue de barbarie face à la Brigade
Jadis surnommée «le fruit du pauvre», la figue de barbarie est en passe de devenir un aliment tendance. Avec un prix qui atteint des sommets inédits, avoisinant les 8 dirhams l’unité, la «Hendiya» rivalise désormais avec les fruits les plus chers au Maroc. Saisie du dossier, la Brigade a ouvert une enquête.
Le36. EP418. Désormais has been, «moul l’parasol» se plaint... dans l’ombre de La Brigade
Emportés par la vague de glow up que connaissent les plages marocaines, les loueurs de parasols n’ont plus que leurs yeux pour pleurer. À l’ombre de leur source de revenu, devenue désuète. Ils avaient pour habitude de faire la loi sur nos côtes sablées, imposant ordre et même désordre. Aujourd’hui, c’est leur activité qui tombe sous le coup de la loi. Leur porte-parole s’explique. Un peu mieux que certains «autres» d’ailleurs.
Le36. EP416. Payé avant l’Aïd, un fonctionnaire porte plainte à la fin du mois
Devant La Brigade, un fonctionnaire crie à l’arnaque. Il se plaint de ne pas avoir reçu ses émoluments la fin du mois passé, l’État ayant décidé de payer les salaires avant l’Aïd. Ce qui était un geste sympathique censé aider à l’achat du mouton est devenu, l’argent s’étant évaporé avec la fumée du Boulfaf, une punition. Pour finir le mois, il faudra racler les fonds de tiroir… et se débarrasser de tout le cholestérol accumulé.
Le36. EP415. Il a vu juste et avant tout le monde: pourquoi La Brigade doit des excuses au visionnaire Saâd-Eddine El Othmani
Alors Chef du gouvernement, Saâd-Eddine El Othmani avait suscité la risée générale en affirmant qu’au Maroc, il suffisait d’ouvrir le robinet pour avoir de l’eau potable. Pour les mortels écervelés que nous étions, c’était un peu «ça» la fonction d’un… robinet. Mais c’est oublier la clairvoyance de Dr. El Othmani qui, visionnaire, voyait de loin la pénurie d’eau arriver chez les caporaux du pays voisin et leur incapacité à servir cette ressource vitale à leurs citoyens. Avouez que même tardivement, Saâdou nous en bouche une.
Le36. EP414. L’bayda mon amour s’offre soudain pour pas cher: la Brigade intervient pour trouble à l’ordre
Il -ou elle- était devenu(e) inaccessible ces derniers temps, mais nous revient plus à la portée que jamais. Et ce, pendant que les Marocains s’en détournent, n’ayant d’yeux que pour les Sardi, Bergui et autres Espagnols ou Roumains. L’œuf, traduisez et conjuguez au très féminin «l’bayda» en marocain, passe en-dessous de la barre symbolique du dirham l’unité, sans forcément trouver preneur. Tout en charme, il -ou elle- essaie de revenir dans la course. Voici ses atouts, et bien entendu atours.
Le36. EP411. Contre le risque de flambée des prix, le vendeur de charbon devant La Brigade
Il a pendant longtemps été le parent pauvre des petits métiers de l’Aïd Al-Adha et, has-been, risquait jusqu’à son existence. Mais la hausse du prix des bonbonnes de gaz redore quelque peu son blason. En perspective, un come-back plus que probable pour réchauffer nos prochains hivers. Lui, c’est le vendeur de charbon qui menace de faire de sa remontada une vendetta sociale. À titre préventif, il est convoqué par La Brigade.
Le36. EP408. Chaud devant: le très cher Sardi face à La Brigade
C’est sapé comme jamais que le Messi des moutons de l’aïd se présente à La Brigade. Avec des tarifs qui promettent de nouveaux records, il faut dire qu’il le vaut bien. Lui se défend de vendre cher son sacrifice. Pour lui, c’est la faute aux «shennaqa», ces intermédiaires et autres rabatteurs qui prennent les Marocains littéralement à la gorge en cette veille de fête d’Al-Adha.