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Situé au sud du quartier industriel de Takaddoum, le nouveau marché de gros de légumes et fruits de Rabat, le plus moderne de son genre au Maroc, s’apprête à ouvrir prochainement ses portes.

En 2025, les exportations de légumes vers la Mauritanie, toutes origines géographiques confondues, devront supporter la surtaxe sur les produits agricoles. La décision, actée dans la loi de finances de l’année prochaine, comporte toutefois quelques changements relatifs à la périodicité et à la durée de l’application de cette imposition introduite pour la première fois en janvier 2024. Une décision qui impactera aussi bien les exportateurs marocains que les consommateurs mauritaniens.

Entre janvier et septembre 2024, le Maroc a représenté plus des trois quarts des importations espagnoles de concombres. Ce qui fait ressortir la domination des exportations marocaines vers ce marché, qui ont enregistré une hausse de 212,5% au cours des dix dernières années.

Au marché de Bamako, il est loisible de constater que les produits de la mer, les fruits et les légumes en provenance du Maroc ont la cote auprès des consommateurs. Prix abordables, fraîcheur et qualités organoleptiques ont fini par séduire tant et tant de gourmets maliens.

Quasiment plus aucun produit de consommation n’échappe à la forte inflation qui sévit actuellement. Après les viandes, ce sont désormais les prix des légumineuses, du poisson ou encore des légumes, jusqu’ici épargnés, qui flambent. Une revue de presse d’Assabah.

Lors de la campagne 2023-2024, l’Espagne a importé plus de 91% de ses approvisionnements en poivron du Maroc. Un chiffre qui illustre la domination des exportations marocaines vers ce marché, qui ont enregistré une hausse de 193% au cours des dix dernières années.

Les pluies enregistrées ces dernières semaines au Maroc, combinées aux inondations dans la vallée du fleuve Sénégal (au sud de la Mauritanie), provoquent une forte poussée des prix des légumes au niveau du marché «Marocain » de Nouakchott, selon les témoignages concordants des vendeurs et des consommateurs.

Depuis plus d’un siècle, la ville de Mali a fait de la culture de la pomme de terre une de ses spécialités. Au point de consacrer à cette spéculation une journée de fête locale. Mais depuis peu, un champignon microscopique, le mildiou, risque de venir à bout de ce tubercule, fruit de la colonisation.

Le panier de la ménagère s’est allégé au Cameroun en raison de la rareté, depuis quelques semaines, de l’oignon et de l’ail dont le prix a connu des hausses considérables au grand désarroi des consommateurs. Et la situation risque de durer longtemps.